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Sid Stevens

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Sid Stevens Empty Sid Stevens

Message  Sid Mar 28 Oct - 2:10

Nom & Prénom : Stevens Sidney.

Âge : 19 ans.

Ville où il vit : New-York.

Physique :

Sid est un jeune homme d'environ un mètre quatre-vingt-cinq, pour un poids plutôt léger de soixante-cinq kilogrammes. Autant dire donc que sa silhouette est loin d'être large et imposante, même s'il est vrai qu'il a des épaules assez carrées.

Le principal trait de son visage que l'on remarque est son air arrogant, qui brille dans ses yeux, à n'importe quel moment de la journée. En effet, il s'efforce de toujours paraître sûr de lui, pour ne pas laisser d'opportunités à une éventuelle concurrence dans un quelconque domaine. Après ses yeux provocateurs, la deuxième chose qui choque les gens quand ils le regarde est sa chevelure, mi-longue, et plutôt très rouge/rousse selon l'ensoleillement au moment où on la regarde. Cela peut paraître étrange, puisque l'époque du Moyen-Âge est révolue, mais certaines personnes semblent avoir gardé une certaine appréhension à discuter avec un roux, ce qui l'énerve plus qu'autre chose.
A part cela, le reste de son fasciesse est plutôt commun : origine caucasienne, peau claire, piercing en haut de l'oreille gauche.

Question vestimentaire, le voyageur a un style particulier : il affectionne les tenues multicolores et très voyantes, accompagnés par un slim rétro, taillant ses jambes, longues et fines, d'une façon plutôt classe. Le tout, accompagné d'une sorte de veste de costume, lui donne donc un genre de mauvais garçon éduqué.

Caractère :

Le caractère de Sid est plutôt difficile à définir, puisque contrairement à d'autres, auxquels on a mâché le travail, il a dû se forger une opinion lui-même sur les aléas de la vie. Grandissant dans un milieu pas forcément très pratique pour élever un enfant, il a pris exemple sur ce qu'il pensait bon, et n'a pas eu forcément que de bons préceptes.
A l'école, durant toute son enfance, il a appris que dans le monde, la loi du plus fort était toujours la meilleure, quoiqu'on en dise et qu'on fasse. De ce fait, il part de l'hypothèse qu'à partir du moment où l'on est faible et victime des autres, on ne réussira jamais à s'assumer dans la vie et réussir. Cependant, contrairement à ce que l'on pourrait croire, les divers aventures qu'a subi notre héros ne l'ont pas traumatisé psychologiquement : pour preuve, malgré un regard agressif et provocateur au premier abord, on remarque très vite que le jeune homme passe la plus grande partie de son temps à rire. Sensible quand il le faut, il supporte à peu près tout, sauf qu'on fasse du mal à un enfant, et est très pris par ce sentiment qu'on nomme pitié. On pourrait donc le croire égoïste par rapport au genre qu'il essaye de se donner, mais au fond, il ne fait aucun doute qu'il est très généreux et qu'il ne veut pas tourner mal.
C'est pourquoi, selon les relations qu'il se fera dans le monde des rêves, on ne peut prédire avec certitude de quel côté il sera.

Phobie : Peur de la poussière, des saletés, des acariens, et des maladies liées à une hygiène laissant à désirer.

Histoire :

Il était une fois, dans cette belle ville qu'est New-York, un jeune avocat prometteur et une belle journaliste. Un jour de Mai, les deux se rencontrèrent par le fruit du hasard, et tout de suite, l'étincelle de l'amour scintilla dans leur regard. En quelques secondes, il surent qu'ils passeraient ensemble le reste de leur vie, ils étaient faits l'un pour l'autre. Alors ils se marièrent, et eurent beaucoup d'enfants. Enfin, beaucoup entre guillemets, ai-je envie de dire, puisque après maintes tendresses, ils parvinrent à avoir un nourrisson, puis une vingtaine de mois après, un deuxième. Le compte de fée était donc poussé à son summum, tout allait bien, la vie était magique, merveilleuse, incroyable. Les deux parents s'occupaient avec délicatesse du nouveau né, tandis que l'éducation de l'aîné se faisait, petit à petit. Le cocon familiale s'était donc instauré en beauté, et semblait créer un nid douillet, protecteur, impénétrable.

Cependant, comme on dit, la liberté d'un homme s'arrête là où celle d'un autre commence. Ainsi, le vieil homme ridé, du troisième étage de l'immeuble où les Stevens habitaient, était dans son droit le plus complet quand il cultivait ses géraniums avec amour et douceur, cependant, il comprit trop tard qu'il était plutôt déraisonnable de ne pas fixer les pots mieux qu'en les coinçant vulgairement avec du fil de fer. Et voyez-vous, quand notre dit pot eut la malchance de tomber au sol, plutôt que d'éclater sur le bitume, il préféra se fracasser sur le crâne du garçon d'environ un an et demi, alors dans les bras de sa mère. Et maman Stevens eut beau pleurer, implorer le seigneur de l'aider, de lui accorder sa pitié, et de sauver la vie de son aîné, rien ne se passa. Les secours arrivèrent alors qu'il était déjà trop tard, le môme pissait le sang comme jamais, à tel point que le lendemain même, le concierge dut passer plus d'une trentaine de minute à éponger la marre pourpre qui s'étendait juste avant le paillasson.

Ah quelle galère, je ne vous le fais pas dire, et c'est là-dedans que commence le récit de la vie du brave Sid. En effet, après la mort prématurée de son frangin, un climat de dépression s'installa plus vite qu'on ne l'y avait convié à l'intérieur de la petite famille. D'ailleurs, celle-ci déménagea dans la semaine, trop attristée par les souvenirs de leur enfant perdu. S'installant dans le Bronx, un long processus d'autodestruction s'amorça, prêt à exploser dès que le bon moment serait venu, vous savez, cet instant où le moral est au plus bas et qu'on se dit qu'il ne pourrait rien arriver de pire.

Pour évincer tout sentiment de déprime, le père de Sid sombra alors dans ce paradis artificiel qu'est l'alcool, et très rapidement, trop rapidement même, il devint dépendant de la boisson. Sa carrière future s'arrêta donc à ce point, brutalement, et la famille dut subir le contrecoup financier, plutôt durement à vrai dire. Toute la journée, la matriarche de la famille se tuait donc à la tache, dans un quotidien local, et lorsqu'elle avait un temps libre, elle l'occupait à faire les tâches ménagères, ou se chercher un autre job à temps partiel, pour arrondir les fins de mois. Pendant ce temps, notre petit héros allait à l'école, et subissait la situation pesante, sans pester ou faire ne serait-ce qu'une objection. Il avait toujours vécu ainsi, c'est pourquoi l'ambiance générale ne le dérangeait pas plus que ça. Bien évidemment, quand il devait ramasser le déchet qui lui servait de paternel, tombé du canapé dans le meilleur des cas, ou sur le pallier de l'immeuble dans les pires situations, il éprouvait une certaine colère face au mépris que lui lançaient, à travers leurs regards silencieux, les voisins. Néanmoins, fier comme un coq, jamais il ne daignait baisser la tête et montrer une quelconque faiblesse. Rappelons qu'il avait dix ans la première fois qu'il dut faire une telle chose, et que c'est à ses douze ans qu'il acheta sa première bouteille de whisky. Triste...

Comme vous l'aurez certainement compris, les Stevens étaient au plus bas, ou du moins, le croyait-il. En effet, qui aurait imaginé qu'après des litres et des litres d'alcool ingurgités dans le sang, le cher père de famille déciderait, un jour pas fait comme un autre, de cogner sur sa femme aussi fort que sur un punching-ball, afin d'extérioriser toute la rancune et toute la haine que son cerveau tracassé de bourré chronique aurait accumuler pendant dix ans. Ainsi, chaque jour, les séances de lynchage durèrent. L'homme n'était guère régulier, il prenait ce qui lui tombait sous la main : sa ceinture, pour des marques fouettées bien nettes et plutôt douloureuse sur une peau découverte; sa batte de baseball, pour un style plus bourrin, et plus dangereux quand la tête était touchée. Et quand il n'y avait rien , il tapait comme une brute avec ses poings, marquant de sa force la peau blanche. Ah qu'elle était belle, la mère de Sid, après tous ces traumatismes, alors que lui, caché sous son lit, dans sa chambre, n'avait même pas le courage de réagir. Quel bel exemple de bon sens, que de rester à pleurer, planquer en espérant que cela cesse au plus vite, la boule au ventre chaque matin, de peur que la torture recommence.

Et puis, il suffit d'une occasion, pour que le gamin peureux deviennent un homme valeureux. Le jour de ses quinze ans, Sid jugea que le pseudo massacre quotidien devait cesser. En cette journée particulière, il arrivait à un âge où il fallait assumer ses responsabilités de citoyen, et prendre de risque. Armé de son seul courage, et d'une volonté de fer, il entra donc dans le salon, et, attrapant le bras flasque de celui grâce auquel il était né, il tordit de toutes ses forces le membre, jusqu'à entendre un craquement sourd. Puis il rua son père de coups de pied, alors que ce dernier agonisait encore de la cuite qu'il avait pris le soir et qui s'était prolongé toute la nuit. En sang, l'homme quitta le studio, et ce fut la fin. La fin d'un couple, qui creusait plus bas que terre, pour se lier dans les méandres du malheur. La fin d'une union familiale, déjà ébréchée par tout un tas de facteurs désastreux. La fin d'une innocence, d'une opinion pure pour le jeune homme.

Après un divorce douloureux, Madame Stevens devint étrangement passive. Devant ses yeux, tout ce qu'elle avait jamais espérer s'était brisé, sans qu'elle puisse dire un mot. Les cicatrices, sur son corps devenu frêle, révélaient le malaise de la situation dans laquelle elle se trouvait, cependant, ces mêmes cicatrices n'étaient rien, comparées aux plaies dont son coeur souffrait. Avachie devant la télévision, léthargique, à regarder des émissions truquées et sans aucun sens, elle ne demandait plus rien à personne, se laissant mourir sans sourciller. Heureusement pour elle, son fils, alors déjà occupé par le travail qu'exigeait le lycée, s'occupait d'elle du mieux qu'il le pouvait. Cependant, bien vite, le jeune garçon se laissa déborder et les piles de linge sale et de poussière s'empilèrent. Le sol était taché, et la vaisselle se tassa rapidement dans l'évier. Remonter la pente était une chose plus dure que prévu. De plus, concilier une vie à peu près heureuse avec un travail de femme de ménage à la maison n'était pas de tout repos.

Dans ce milieu de crasse, il ne suffit que d'une légère plaie, pour que Sid attrape une infection de la jambe. Se jugeant comme un homme, un vrai, il préféra étouffer les éventuelles douleurs que sa coupure lui infligeaient, jusqu'à ce qu'il comprenne que les rougeurs sur son mollet n'étaient pas dues à un simple petit coup de chaud, ou un chaussette trop serrée. Bientôt, marcher lui fut impossible, telle la souffrance lui rongeait l'existence. Enfin, il fut admis à l'hôpital, quelques jours après seulement, et là, on lui appris qu'il avait failli perdre sa jambe. Les cours de biologie de l'école ne lui avait donc pas appris qu'on ne jouait pas avec sa santé pour faire semblant d'être un dur.

Bien décidé à faire régner la propreté, notre héros organisa sa stratégie, et tenta de reprendre un rythme de vie normal. Sa mère, peu à peu, émergea à son tour, pour le plus grand bonheur de chacun. Un baccalauréat en poche, Sid entra dans une école de commerce. Peu de temps après cela, il affronta sa peur dans Dreamland et le voilà maintenant nouveau voyageur.

But : Aucun en particulier dans Dreamland. Il n'a pas assez d'expérience dans ce nouveau monde pour savoir ce qu'il lui plairait bien de faire.
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Message  Loki Mar 28 Oct - 12:34

'manque plus que l'avatar mais tu peux te considéré comme validé.....c'est ce que j'aimerais dire, parce que l'histoire et longue et belle..........mais le problème c'est les foutues lignes de physique et de personnalité. Ouais, je sais, c'est chiant, mais qu'y puis-je? En tout cas, faut que tu en rajoute un peu =D
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Message  Sid Mar 28 Oct - 13:32

Mon avatar veut pas passer. Faust me l'avait me mis, mais ça marche toujours pas -_-
Je vais le réhéberger ailleurs.

Pour les lignes, moi j'en vois nettement 5, comme le minimum, mais bon, si c'est pour faire plaisir à un admin, alors j'en rajouterais Wink C'est ma grande passion, les descriptions <33
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Message  Nemesis Mar 28 Oct - 20:09

Personellement, je vois bien plus que 5 lignes, tu es donc validé !
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