Robin Ralys
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Robin Ralys
Nom & Prénom :
Robin Ralys
Pseudo : Gryf
Âge : 15 ans ( en novembre )
Ville où il vit : Boissy, petite ville accueillante, simple et merveilleuse !
Physique :
Robin n’est pas très spécial, pas très différent des autres, un mètre soixante-dix peut être un mètre quatre-vingts, en fait, il ne se mesurait pas souvent et retenait rarement sa taille, la preuve il faisait un mètre soixante-quinze ! De ces cinquante-deux kilos à la peser, de la balance enfoui sous le meuble de la sale à manger, notre ami se retrouvait mince, mais pas trop, proportionner pour sa taille. Des yeux marron, des cheveux, de même couleur, châtain, et blond, sur les côtés (et oui, Robin n’est jamais simple, même dans sa description, il est compliquer) ébouriffer, en batail le matin quand il se lève, mal coiffer en sortant de sa salle de bain. Des bras, ni maigrelet, ni bien foutu, un physique simple, qu’il ne cherche pas à travailler. Voyez Sammy dans Scooby-doo ? Le même genre, même type de vêtements, tee-shirt à double manches, jean, petite barbichette involontaire, cause : rasoir qui rase mal certaine partie de son visage dont le menton.
Caractère :
Le caractère de Robin ! Encore une fois, il ne vole pas haut, ni bas, un caractère simplissime. Il aime ces amis, aime la vie, aime être heureux, souris le plus souvent possible, ne veux pas se compliquer la vie, veux rester simple. Un caractère simple, ne cherche ni embrouille ni emmerde. Il adore lire, que se sois des romans, des nouvelles, des bd, ou des magazines. Mais ce qu’il aime encore plus c’est la télévision (et bien sur ces amis). Il adore X-men, Batman, ou autre héros en tout genre. Bien que ces amis lui disent qu’il est du genre Sabbat ou encore Sammy, il pense que non, pourtant aimerait avoir cette cool attitude ! Son caractère est en fait, comme le silence. Robin parle le moins possible, aime être au calme (sauf quand il est avec ces amis) et passe son temps à rêver, que ce soit de jour ou de nuit. La fraîcheur du matin, l’air glacée, et le silence, sur une petite butte d’herbe, au soleil levant, voila ce qu’il aime, la fraîcheur et la tranquillité. Un grand fan de Heroes, et de Saska ( de Dreamland aussi, mais bon je trouve que dire qu’un voyageur est fan de Dreamland, le manga, alors qu’il va chaque nuit dans Dreamland, ça fait bizarre ).
Phobie : Cryophobe (Peur de la glace, du froid)
Histoire :
Vous est-il déjà arrivé de naître un jour en grand froid ? Ou la neige tombe en abondance, ou le bitume et le béton son glacer, gelés ? Robin est né par un de ces jours. Et a grandis dans une ville où chaque année il y avait de la neige, et de la glace. Au début fasciner par cette blancheur, il en eu vite peur.
Alors que Robin était âgé de 8 ans, par une journée d’hiver bien entamé, tout comme le sandwich de se touriste Américain assis derrière le volant de sa voiture avec sa petite famille à ces côtés, il marchait dans la rue. S’enfonçant à chaque pas dans la neige craquante, suivit par des traces. Robin se dirigea vers le parc, situé à quelques mètres de chez lui, ou il alla rejoindre ces amis. Il passa devant la grande grille en fer forger recouverte de blanc, couru sur le gravier, et arriva devant la statue de l’ange. Haletant, son souffle glacé formant de faible nuage de bué, il observa les alentours.
Il vit enfin ces amis, prêt de la forêt. Il alla les rejoindre et ceux-ci l’accueillirent avec joie. Mathilde proposa de jouer à chat et qui aurait refusé ? Celui qui serait désigné comme chat, c’est pourquoi Robin se proposa. Tous partirent en courant, Mathilde dans les bois, Jérôme à gauche et Pierre vers la droite. Autant dire qu’ils s’étaient très vite séparer. Robin parti donc à la poursuite de Mathilde, après tout, c’était elle qui avait lancer l’idée de jeu, et qui courrais la moins vite.
S’enfonçant dans les bois, poussant les branches nues, courrant sur la neige, sans prudence, manquant à chaque foulée de tomber, Robin suivit l’ombre de Mathilde durant plusieurs minutes. Il accéléra, la vit plus distinctement, la senti proche, il était sur le point de l’attraper, là à quelques mètre de lui, à quelques foulé. Mais, sans prudence, on risque à tout moment de glisser sur cette surface gelée. Les chaussures adhèrent très peu à la terre gelée. Robin glissa, voulu se rattraper à une branche mais en vain, tout ce qu’il gagna fut de s’écorcher la main.
Sa tête cogna contre le sol, le sonnant sur le coup. Il eu mal au dos, sentis la terre fraîche, et vit la neige qui se trouvait sur la branche qu’il avait secouer lui tomber dessus. Il se pris la masse glacer sur le visage, précipitamment, avec un geste brusque il s’essuya le visage avec sa main et perdit l’équilibre. Il dévala la longue pente, voyant le paysage s’inverser à chaque roulade. Ciel, neige, terre, Aïe, ciel, neige, terre, Aïe. Arriver en bas, la tête sur le coter, il voyait le ciel de coter et la neige. Robin essaya de se relever mais une douleur subite le prit à la jambe, retombant sur le sol, ne pouvant plus bouger, à bout de force. Courir par un hiver ou il fait froid, c’est sur, ça fatigue. Allonger là, dans le froid, dans l’incapacité de bouger il appela à l’aide. Durant de nombreuses minutes il appela à l’aide mais personne ne l’entendit.
Au milieu de nul par, perdu dans la forêt, dans la neige, Robin observa le ciel qu’il voyait de coter, avec son espace remplis de branches d’arbres vide, sans feuille ni vie. Et il observa le reste, le tas de neige. Pourquoi n’arrivait-il pas à bouger ? Il testa à nouveau de déplacer sa jambe, la douleur revînt. Il cria. La fatigue le prit d’un coup, le froid le cisaillait. Alors, d’un coup, il se mit à avoir peur. Une peur grandissante qui commença à l’étreindre. Il la sentait peser sur lui. Là sur son corps, rendant sa respiration saccader. Il se sentit enfermer, compresser.
Une heure plus tard, des policier vinrent le sortir du fausser dans lequel il était tomber. Deux braves types, un homme fin, grand, aux muscles cacher par une veste chaude, et une femme, blonde, aux yeux généreux et protecteur que peuvent avoir des mères. Ils le ramenèrent chez lui après avoir informer les autres policiers en patrouille qu’ils avaient retrouvés le jeune garçon disparu. Sa mère affoler le pris dans ces bras, alla le mettre dans une serviette sèche qu’elle sorti en vitesse d’un placard et rendis sa veste au policier.
6 ans on passer depuis se jour, et depuis, Robin à peur du froid. Pas un jour ne se passe, sans qu’il n’ait peur. A chaque coup de vent, il frissonne, de froid et de peur. Il s’habille chaudement, même en été. Pull tee-shirt, sur tee-shirt, sweet-shirt, tout ce qui était enfilable, était enfilé. Chaque hiver, il lui était impossible de vivre normalement, chaque fois qu’il sentait une brise de vent, chaque fois qu’il avait froid, il avait peur. Même chez lui, le frigo, objet sacré contenant la nourriture, il le redoutait aujourd’hui. Par les temps de grand froid, jours où la neige tombait à flot, habiller de telle sorte, qu’aucune partie de son corps ne soit exposé, il sortait peu rassurer.
Ce froid qui l’avait martyrisé, qui l’avait étreint durant de longue heure auparavant, plus jamais il ne voulait le sentir, plus jamais il ne voulait le toucher, quitte à renoncer aux glaces à l’italiennes, aux desserts succulents qui vous fait lécher les babines. Bref, il crevait de chaud sous ces vêtements, et si était habituer, jusqu'à un soir, qui changea son habitude de faire.
Alors qu’il dormait paisiblement, une chose affreuse se produisit. Il sentit dans son cou, le vent, une sensation de fraîcheur désagréable qui le fit se relevé en sursaut. Il regarda sa chambre dans le moindre détail, et vit la fenêtre, grande ouverte sur l’extérieur. Il se précipita hors de son lit, et ferma la fenêtre, d’un geste brusque. Un autre courant d’air, encore plus froid que le précédent. Robin se retourna, et tomba nez à nez avec l’enfer. Paradoxalement, sa chambre était couverte de glace, de neige, emplis de froid. Un enfer gelé !
Robin se recroquevilla, contre le mur. C’était un vrai cauchemar, sa chambre, remplis de glace, de fraîcheur. Et se mur contre le quel il était appuyer. Il était gelé. Robin se décolla du mur apeurer, avança à quatre pattes sur deux mètres, et se releva. Il avait froid, aux genoux et aux mains. Il tremblait de terreur, de froid. Il couru jusqu'à la porte de sa chambre et essaya de l’ouvrir. Rien à faire, il était enfermer dans ce congélo géant. La porte se recouvrit de neige, et Robin s’en éloigna à toute vitesse.
Au milieu de la pièce, entre ces mur blanc, cherchant une quelconque issue, son regard ne tomba que sur de la neige. Une neige blanche qui se rapprochait progressivement, dangereusement de lui. Il se réveilla en sursaut alors que la neige l’étreignait. Il suait, transpirait comme jamais, et pourtant, il avait froid.
Un an passa, et les cauchemars, continuant de le harceler, devirent de plus en plus horrible, bientôt, il se voyait dans la brume, dans la neige, puis sur un lac gelé, avec brume et neige comme accompagnement. Arriva un jour, ou il rêva de la forêt.
Courrant à travers les bois. Cette fois ci, il n’était plus le chat, mais la souris. Ce n’était pas Mathilde qui le suivait, mais la brume, le froid, la glace. Courrant dans la forêt congelé, et prier pour ne pas finir comme elle. A ce moment précis il revit la scène telle qu’elle c’était passer. Chaque, branche, recoin, feuille morte, sauterelle, toutes choses dont il n’avait pas pris garde à l’époque, lui revenait subitement à l’esprit. Il revit, les traces de pas de Mathilde, qu’il avait suivit, il revit, cet endroit ou il avait glisser. Il revit, ciel, neige et terre. Il revis sa chute, et se retrouva dans la même position qu’a l’époque. Il regarda la pente, d’où il avait chuté, et vit la neige qui la dévala. Le brouillard cacha les arbres morts, et le froid remplaça toute vie en son cœur par la peur.
La neige commença à le recouvrir petit à petit, tandis que le brouillard entourait son corps apeuré gémissant et criant à l’aide. Robin essaya de se débattre mais le froid l’avait enseveli. L’air se glaça, et Robin commença à mal respirer, il se sentait étouffer, dans l’impossibilité de se débattre. Il abandonna l’idée de gagner se combat. Il se rappela le policier qui lui avait tendu sa veste, il se rappela alors, qu’il avait eu froid, pour réchauffer se petit garçon qu’il était. Mais aujourd’hui il n’était plus un petit garçon, et la veste était trop petite pour le recouvrir. Il devait se débrouiller tout seul.
Il se débattit contre le froid, respira plus rapidement, mais de plus en plus détendu. Il essaya de ne pas avoir peur, il essaya de se calmer, rien à y faire, il péta un câble, cria un bon coup essaya de fuir de partir en courant, mais bloquer sous le tas de neige, il ne réussi cas s’essouffler. Il regarda autour de lui, mais il ne vit rien. Non pas à cause du brouillard, mais a cause de la neige, qui avait atteint son visage. Prit de panique, il secoua la tête pour la faire partir, il s’immobilisa, respira moins rapidement, plus fort, et accepta le froid.
Il le senti, entrer en lui, s’imprégner dans sa peau, il sentis l’eau gelée couler sur son corps, il sentis, non plus une fraîcheur qui le tiraillait, mais une fraîcheur qu’il trouva, agréable. Il compris enfin ce qu’il s’était passer. La glace avait fondu, il était à nouveau libre de ces moyens. Il avait froid, mais plus peur. Et cette fraîcheur, il l’avait la drôle de sensation de … la contrôler. Le brouillard se trouvait toujours là. Quelle que fut ce qui le poussa à tendre la main, il le fit, et sentis la fraîcheur affluer vers la paume de sa main. Le brouillard disparaissait petit à petit. Il contrôlait cette fraîcheur. Un souffle glacée s’éleva dans Dreamland, un corps exténuer, se releva dans son lit.
But : Être en paix dans Dreamland, que personne ne vienne le déranger. Pour avoir la paix, il faut savoir commencer par se faire respecter ( ce qui veut dire, déranger les gens dérangeant et leur faire comprendre qu’il ne faut plus déranger )
Post RP : ( Facultatif )
Robin Ralys
Pseudo : Gryf
Âge : 15 ans ( en novembre )
Ville où il vit : Boissy, petite ville accueillante, simple et merveilleuse !
Physique :
Robin n’est pas très spécial, pas très différent des autres, un mètre soixante-dix peut être un mètre quatre-vingts, en fait, il ne se mesurait pas souvent et retenait rarement sa taille, la preuve il faisait un mètre soixante-quinze ! De ces cinquante-deux kilos à la peser, de la balance enfoui sous le meuble de la sale à manger, notre ami se retrouvait mince, mais pas trop, proportionner pour sa taille. Des yeux marron, des cheveux, de même couleur, châtain, et blond, sur les côtés (et oui, Robin n’est jamais simple, même dans sa description, il est compliquer) ébouriffer, en batail le matin quand il se lève, mal coiffer en sortant de sa salle de bain. Des bras, ni maigrelet, ni bien foutu, un physique simple, qu’il ne cherche pas à travailler. Voyez Sammy dans Scooby-doo ? Le même genre, même type de vêtements, tee-shirt à double manches, jean, petite barbichette involontaire, cause : rasoir qui rase mal certaine partie de son visage dont le menton.
Caractère :
Le caractère de Robin ! Encore une fois, il ne vole pas haut, ni bas, un caractère simplissime. Il aime ces amis, aime la vie, aime être heureux, souris le plus souvent possible, ne veux pas se compliquer la vie, veux rester simple. Un caractère simple, ne cherche ni embrouille ni emmerde. Il adore lire, que se sois des romans, des nouvelles, des bd, ou des magazines. Mais ce qu’il aime encore plus c’est la télévision (et bien sur ces amis). Il adore X-men, Batman, ou autre héros en tout genre. Bien que ces amis lui disent qu’il est du genre Sabbat ou encore Sammy, il pense que non, pourtant aimerait avoir cette cool attitude ! Son caractère est en fait, comme le silence. Robin parle le moins possible, aime être au calme (sauf quand il est avec ces amis) et passe son temps à rêver, que ce soit de jour ou de nuit. La fraîcheur du matin, l’air glacée, et le silence, sur une petite butte d’herbe, au soleil levant, voila ce qu’il aime, la fraîcheur et la tranquillité. Un grand fan de Heroes, et de Saska ( de Dreamland aussi, mais bon je trouve que dire qu’un voyageur est fan de Dreamland, le manga, alors qu’il va chaque nuit dans Dreamland, ça fait bizarre ).
Phobie : Cryophobe (Peur de la glace, du froid)
Histoire :
Vous est-il déjà arrivé de naître un jour en grand froid ? Ou la neige tombe en abondance, ou le bitume et le béton son glacer, gelés ? Robin est né par un de ces jours. Et a grandis dans une ville où chaque année il y avait de la neige, et de la glace. Au début fasciner par cette blancheur, il en eu vite peur.
Alors que Robin était âgé de 8 ans, par une journée d’hiver bien entamé, tout comme le sandwich de se touriste Américain assis derrière le volant de sa voiture avec sa petite famille à ces côtés, il marchait dans la rue. S’enfonçant à chaque pas dans la neige craquante, suivit par des traces. Robin se dirigea vers le parc, situé à quelques mètres de chez lui, ou il alla rejoindre ces amis. Il passa devant la grande grille en fer forger recouverte de blanc, couru sur le gravier, et arriva devant la statue de l’ange. Haletant, son souffle glacé formant de faible nuage de bué, il observa les alentours.
Il vit enfin ces amis, prêt de la forêt. Il alla les rejoindre et ceux-ci l’accueillirent avec joie. Mathilde proposa de jouer à chat et qui aurait refusé ? Celui qui serait désigné comme chat, c’est pourquoi Robin se proposa. Tous partirent en courant, Mathilde dans les bois, Jérôme à gauche et Pierre vers la droite. Autant dire qu’ils s’étaient très vite séparer. Robin parti donc à la poursuite de Mathilde, après tout, c’était elle qui avait lancer l’idée de jeu, et qui courrais la moins vite.
S’enfonçant dans les bois, poussant les branches nues, courrant sur la neige, sans prudence, manquant à chaque foulée de tomber, Robin suivit l’ombre de Mathilde durant plusieurs minutes. Il accéléra, la vit plus distinctement, la senti proche, il était sur le point de l’attraper, là à quelques mètre de lui, à quelques foulé. Mais, sans prudence, on risque à tout moment de glisser sur cette surface gelée. Les chaussures adhèrent très peu à la terre gelée. Robin glissa, voulu se rattraper à une branche mais en vain, tout ce qu’il gagna fut de s’écorcher la main.
Sa tête cogna contre le sol, le sonnant sur le coup. Il eu mal au dos, sentis la terre fraîche, et vit la neige qui se trouvait sur la branche qu’il avait secouer lui tomber dessus. Il se pris la masse glacer sur le visage, précipitamment, avec un geste brusque il s’essuya le visage avec sa main et perdit l’équilibre. Il dévala la longue pente, voyant le paysage s’inverser à chaque roulade. Ciel, neige, terre, Aïe, ciel, neige, terre, Aïe. Arriver en bas, la tête sur le coter, il voyait le ciel de coter et la neige. Robin essaya de se relever mais une douleur subite le prit à la jambe, retombant sur le sol, ne pouvant plus bouger, à bout de force. Courir par un hiver ou il fait froid, c’est sur, ça fatigue. Allonger là, dans le froid, dans l’incapacité de bouger il appela à l’aide. Durant de nombreuses minutes il appela à l’aide mais personne ne l’entendit.
Au milieu de nul par, perdu dans la forêt, dans la neige, Robin observa le ciel qu’il voyait de coter, avec son espace remplis de branches d’arbres vide, sans feuille ni vie. Et il observa le reste, le tas de neige. Pourquoi n’arrivait-il pas à bouger ? Il testa à nouveau de déplacer sa jambe, la douleur revînt. Il cria. La fatigue le prit d’un coup, le froid le cisaillait. Alors, d’un coup, il se mit à avoir peur. Une peur grandissante qui commença à l’étreindre. Il la sentait peser sur lui. Là sur son corps, rendant sa respiration saccader. Il se sentit enfermer, compresser.
Une heure plus tard, des policier vinrent le sortir du fausser dans lequel il était tomber. Deux braves types, un homme fin, grand, aux muscles cacher par une veste chaude, et une femme, blonde, aux yeux généreux et protecteur que peuvent avoir des mères. Ils le ramenèrent chez lui après avoir informer les autres policiers en patrouille qu’ils avaient retrouvés le jeune garçon disparu. Sa mère affoler le pris dans ces bras, alla le mettre dans une serviette sèche qu’elle sorti en vitesse d’un placard et rendis sa veste au policier.
6 ans on passer depuis se jour, et depuis, Robin à peur du froid. Pas un jour ne se passe, sans qu’il n’ait peur. A chaque coup de vent, il frissonne, de froid et de peur. Il s’habille chaudement, même en été. Pull tee-shirt, sur tee-shirt, sweet-shirt, tout ce qui était enfilable, était enfilé. Chaque hiver, il lui était impossible de vivre normalement, chaque fois qu’il sentait une brise de vent, chaque fois qu’il avait froid, il avait peur. Même chez lui, le frigo, objet sacré contenant la nourriture, il le redoutait aujourd’hui. Par les temps de grand froid, jours où la neige tombait à flot, habiller de telle sorte, qu’aucune partie de son corps ne soit exposé, il sortait peu rassurer.
Ce froid qui l’avait martyrisé, qui l’avait étreint durant de longue heure auparavant, plus jamais il ne voulait le sentir, plus jamais il ne voulait le toucher, quitte à renoncer aux glaces à l’italiennes, aux desserts succulents qui vous fait lécher les babines. Bref, il crevait de chaud sous ces vêtements, et si était habituer, jusqu'à un soir, qui changea son habitude de faire.
Alors qu’il dormait paisiblement, une chose affreuse se produisit. Il sentit dans son cou, le vent, une sensation de fraîcheur désagréable qui le fit se relevé en sursaut. Il regarda sa chambre dans le moindre détail, et vit la fenêtre, grande ouverte sur l’extérieur. Il se précipita hors de son lit, et ferma la fenêtre, d’un geste brusque. Un autre courant d’air, encore plus froid que le précédent. Robin se retourna, et tomba nez à nez avec l’enfer. Paradoxalement, sa chambre était couverte de glace, de neige, emplis de froid. Un enfer gelé !
Robin se recroquevilla, contre le mur. C’était un vrai cauchemar, sa chambre, remplis de glace, de fraîcheur. Et se mur contre le quel il était appuyer. Il était gelé. Robin se décolla du mur apeurer, avança à quatre pattes sur deux mètres, et se releva. Il avait froid, aux genoux et aux mains. Il tremblait de terreur, de froid. Il couru jusqu'à la porte de sa chambre et essaya de l’ouvrir. Rien à faire, il était enfermer dans ce congélo géant. La porte se recouvrit de neige, et Robin s’en éloigna à toute vitesse.
Au milieu de la pièce, entre ces mur blanc, cherchant une quelconque issue, son regard ne tomba que sur de la neige. Une neige blanche qui se rapprochait progressivement, dangereusement de lui. Il se réveilla en sursaut alors que la neige l’étreignait. Il suait, transpirait comme jamais, et pourtant, il avait froid.
Un an passa, et les cauchemars, continuant de le harceler, devirent de plus en plus horrible, bientôt, il se voyait dans la brume, dans la neige, puis sur un lac gelé, avec brume et neige comme accompagnement. Arriva un jour, ou il rêva de la forêt.
Courrant à travers les bois. Cette fois ci, il n’était plus le chat, mais la souris. Ce n’était pas Mathilde qui le suivait, mais la brume, le froid, la glace. Courrant dans la forêt congelé, et prier pour ne pas finir comme elle. A ce moment précis il revit la scène telle qu’elle c’était passer. Chaque, branche, recoin, feuille morte, sauterelle, toutes choses dont il n’avait pas pris garde à l’époque, lui revenait subitement à l’esprit. Il revit, les traces de pas de Mathilde, qu’il avait suivit, il revit, cet endroit ou il avait glisser. Il revit, ciel, neige et terre. Il revis sa chute, et se retrouva dans la même position qu’a l’époque. Il regarda la pente, d’où il avait chuté, et vit la neige qui la dévala. Le brouillard cacha les arbres morts, et le froid remplaça toute vie en son cœur par la peur.
La neige commença à le recouvrir petit à petit, tandis que le brouillard entourait son corps apeuré gémissant et criant à l’aide. Robin essaya de se débattre mais le froid l’avait enseveli. L’air se glaça, et Robin commença à mal respirer, il se sentait étouffer, dans l’impossibilité de se débattre. Il abandonna l’idée de gagner se combat. Il se rappela le policier qui lui avait tendu sa veste, il se rappela alors, qu’il avait eu froid, pour réchauffer se petit garçon qu’il était. Mais aujourd’hui il n’était plus un petit garçon, et la veste était trop petite pour le recouvrir. Il devait se débrouiller tout seul.
Il se débattit contre le froid, respira plus rapidement, mais de plus en plus détendu. Il essaya de ne pas avoir peur, il essaya de se calmer, rien à y faire, il péta un câble, cria un bon coup essaya de fuir de partir en courant, mais bloquer sous le tas de neige, il ne réussi cas s’essouffler. Il regarda autour de lui, mais il ne vit rien. Non pas à cause du brouillard, mais a cause de la neige, qui avait atteint son visage. Prit de panique, il secoua la tête pour la faire partir, il s’immobilisa, respira moins rapidement, plus fort, et accepta le froid.
Il le senti, entrer en lui, s’imprégner dans sa peau, il sentis l’eau gelée couler sur son corps, il sentis, non plus une fraîcheur qui le tiraillait, mais une fraîcheur qu’il trouva, agréable. Il compris enfin ce qu’il s’était passer. La glace avait fondu, il était à nouveau libre de ces moyens. Il avait froid, mais plus peur. Et cette fraîcheur, il l’avait la drôle de sensation de … la contrôler. Le brouillard se trouvait toujours là. Quelle que fut ce qui le poussa à tendre la main, il le fit, et sentis la fraîcheur affluer vers la paume de sa main. Le brouillard disparaissait petit à petit. Il contrôlait cette fraîcheur. Un souffle glacée s’éleva dans Dreamland, un corps exténuer, se releva dans son lit.
But : Être en paix dans Dreamland, que personne ne vienne le déranger. Pour avoir la paix, il faut savoir commencer par se faire respecter ( ce qui veut dire, déranger les gens dérangeant et leur faire comprendre qu’il ne faut plus déranger )
Post RP : ( Facultatif )
Dernière édition par Gryf le Lun 13 Oct - 17:27, édité 3 fois
Gryf- Nouveau Voyageur
- Messages : 39
Date d'inscription : 06/10/2008
Fiche du voyageur
Catégorie: Controleur
Pouvoir: Maitre des Blizzards
Maitrise: Nouvelle Maitrise
Re: Robin Ralys
Bienvenue a toi Gryf,
Alors tout dabord, ton nom de famille n'est pas bon, il te faut un vrai nom, Nofirstname n'est pas vraiment conforme .
Ensuite, je laisse la parole à Loki, qui dira mieux les chôses que moi ! ( surtout que j'ai la fleme de lire ta fiche ce soir ! )
Alors tout dabord, ton nom de famille n'est pas bon, il te faut un vrai nom, Nofirstname n'est pas vraiment conforme .
Ensuite, je laisse la parole à Loki, qui dira mieux les chôses que moi ! ( surtout que j'ai la fleme de lire ta fiche ce soir ! )
Nemesis- Voyageur Immortel
- Messages : 60
Date d'inscription : 04/10/2008
Fiche du voyageur
Catégorie: Invocateur
Pouvoir: L'Armée des Immortels
Maitrise: Parfaite
Re: Robin Ralys
Excellente histoire! En plus tu t'améliore en orthographe, même si on reconnais tes habituelles fautes^^ comme le "se" et certaines mauvaise utilisations du verbe être.
J'aurais tout de suite validé mais comme je n'ai pas encore posté ma fiche je ne pense pas que ce serais très honnête.
En tout cas bravo!
J'aurais tout de suite validé mais comme je n'ai pas encore posté ma fiche je ne pense pas que ce serais très honnête.
En tout cas bravo!
Dettorer- Nouveau Voyageur
- Messages : 50
Date d'inscription : 05/10/2008
Age : 31
Localisation : on va dire sur terre, c'est déjà pas mal, même si c'est pas tout les jours
Fiche du voyageur
Catégorie: Controleur
Pouvoir: Halo Lumineux
Maitrise: Nouvelle Maitrise
Re: Robin Ralys
Ah aufaite, il te faut un avatar aussi !
Nemesis- Voyageur Immortel
- Messages : 60
Date d'inscription : 04/10/2008
Fiche du voyageur
Catégorie: Invocateur
Pouvoir: L'Armée des Immortels
Maitrise: Parfaite
Re: Robin Ralys
Hoooy... *arrive lentement, les pieds trainant, et en baaaiiillaant aux corneilles*
So...ouais, la fiche est sympa, il ne manque plus qu'un avatar....ah et, ta fiche serait vraiment bien, si tu y passait un coup de Word pour corriger les quelques fautes qui pointes le bout de leur nez Et puis, si tu étoffait tes descriptions, tu obtiendrais sans doute une meilleure maitrise ;D
Aaah...et, j'adore ton histoire =D
So...ouais, la fiche est sympa, il ne manque plus qu'un avatar....ah et, ta fiche serait vraiment bien, si tu y passait un coup de Word pour corriger les quelques fautes qui pointes le bout de leur nez Et puis, si tu étoffait tes descriptions, tu obtiendrais sans doute une meilleure maitrise ;D
Aaah...et, j'adore ton histoire =D
Loki- Voyageur Eternel
- Messages : 55
Date d'inscription : 04/10/2008
Age : 31
Localisation : Squatteur éternel de DreamLand......me revoir à Orléans? N'y comptez pas! XD
Fiche du voyageur
Catégorie: Contrôleur
Pouvoir: Son Symphonique
Maitrise: Parfaite
Re: Robin Ralys
Après moult délibération avec moi, moi et moi, on s'est décidé à........te VALIDE! Et maintenant, comme on le dit si bien chez les démons: GO TO HELL!
Loki- Voyageur Eternel
- Messages : 55
Date d'inscription : 04/10/2008
Age : 31
Localisation : Squatteur éternel de DreamLand......me revoir à Orléans? N'y comptez pas! XD
Fiche du voyageur
Catégorie: Contrôleur
Pouvoir: Son Symphonique
Maitrise: Parfaite
Re: Robin Ralys
Ce que je peux adorer les personnalités multiples
Merci Loki, de m'avoir valider ^^
Mais eu... tu peux valider à toi tout seul les voyageur que tu veux ? Faust ne doit pas être d'accord lui aussi, ou un vote de groupe ? Je demande ça par curiosité ^^
Merci Loki, de m'avoir valider ^^
Mais eu... tu peux valider à toi tout seul les voyageur que tu veux ? Faust ne doit pas être d'accord lui aussi, ou un vote de groupe ? Je demande ça par curiosité ^^
Gryf- Nouveau Voyageur
- Messages : 39
Date d'inscription : 06/10/2008
Fiche du voyageur
Catégorie: Controleur
Pouvoir: Maitre des Blizzards
Maitrise: Nouvelle Maitrise
Re: Robin Ralys
Non, si il trouve que c'est bien, il te valide j'ai confiance en son jugement et c'est bien plus pratique car je suis interne et donc pas là la semaine, sinon vous attendrie trop longtemps !
Nemesis- Voyageur Immortel
- Messages : 60
Date d'inscription : 04/10/2008
Fiche du voyageur
Catégorie: Invocateur
Pouvoir: L'Armée des Immortels
Maitrise: Parfaite
Re: Robin Ralys
Je peut modérer tout les jours de mon côté mais c'est vrai que pour l'instant le nombre de modérateur ne permet pas d'exiger plusieurs validations, ce serais trop long.
Dernière édition par Dettorer le Mar 21 Oct - 23:45, édité 1 fois
Dettorer- Nouveau Voyageur
- Messages : 50
Date d'inscription : 05/10/2008
Age : 31
Localisation : on va dire sur terre, c'est déjà pas mal, même si c'est pas tout les jours
Fiche du voyageur
Catégorie: Controleur
Pouvoir: Halo Lumineux
Maitrise: Nouvelle Maitrise
Re: Robin Ralys
Direction le royaume des doutes, bonne chance nouveau voyageur !
Nemesis- Voyageur Immortel
- Messages : 60
Date d'inscription : 04/10/2008
Fiche du voyageur
Catégorie: Invocateur
Pouvoir: L'Armée des Immortels
Maitrise: Parfaite
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