Paul Mareau [lumière]

Nom & Prénom :
Paul Mareau

Âge :
15 ans

Ville où il vit :
Boissy

Physique :
Paul change souvent d'avis sur son apparence, il est mince, relativement grand et est sur la fin de son acné, il ne lui reste donc que quelques rares boutons. Il a les yeux verts et les cheveux bruns, qu'il aime long mais que sa mère oblige à passer chez le coiffeur de temps en temps, ils qu'il ne coiffe d'ailleurs que rarement, que quand ils sont vraiment n'importe comment. Il ne porte pas de lunette et possède une très bonne vue et de bon reflex visuels, ce qui l'a toujours étonné. Il s'habille généralement avec un tee-shirt, une chemise et un manteau quand il fait froid avec une écharpe, et porte souvent des jeans. Il a souvent l'air de ne pas avoir assez dormis, ce qui est généralement vrai, les yeux souvent mi clos, voir complètement fermés en cours d'histoire, cela viens surtout de son ordinateur et de la difficulté qu'il a à se mettre au lit quand il est l'heure, on lui a déjà dit qu'il ressemblait un peut à un zombie lorsqu'il n'avait pas beaucoup dormis la nuit, mais généralement, il a juste l'air un peut fatiguer.
Sa bouche est fine, elle forme rarement un vrai sourire mais elle ne le montrant que très rarement de mauvaise humeur, il a souvent l'air un peut triste ou légèrement de mauvaise humeur alors qu'il se sent très bien et crois arborer un petit sourire.
Il a une ouï assez commune, il entend bien, pas plus que la moyenne, mais n'a jamais eu à s'en plaindre.
Ses jambes semblent parfaitement normale recouvertes d'un pantalon mais c'est la partie de son corps qu'il aime le moins : il les trouve trop poilues et grosses alors qu'elles ne le portent pas très loin en vélo.
Il a des bras tout fin, certains de ses amis s'amuse à pouvoir faire le tour de son poignet en joignant deux doigts presque sans le toucher pour ceux qui en on des longs, on dit qu'il a des mains d'informaticien ou de pianiste, donc de longs doigts ce qui tombe très bien pour ses loisirs.
Il fut un temps où on le surnommait parfois le cachet d'aspirine, cela arrive toujours de temps en temps mais très rarement, il a la peau assez pâle du fait qu'il ne sort pas très souvent, mais assez pour ne pas paraitre vraiment blanc.

Caractère :
Paul est assez posé et calme, il est très timide, ce qui le freine souvent pour parler aux filles et en particulier pour les épreuves orales en cours. Il aime beaucoup l'informatique et créer des sites internet, ce n'est pas un crac mais il aide souvent ses amis en difficultés. Il est bon en physique et SVT, assez bon en math, se débrouille en français et rame complètement en histoire et géographie, il préfère l'espagnol à l'anglais mais aime les deux langues. Même si son statut d'informaticien auprès des autres (bien qu'il persiste à dire qu'il n'est pas si bon que ça) pourrais faire de lui un asocial selon quelques archétypes injustifiés, il reste souvent avec ces amis et n'aime pas se retrouver seul.
Il est serviable, réfléchi, un peut flemmard sur les bords, il a toujours du mal à travailler chez lui mais a quand même d'assez bon résultats en générale. Quand il est chez lui il aime écouter de la musique et surfer sur internet, comme de groupe de musique il n'en aime pas vraiment, il aime juste une chanson ou ne l'aime pas, en générale quand il trouve une chanson qui lui plais il n'aimera pas beaucoup les autres du groupe, mais toute règle a une exception, il aime beaucoup Green Day (mais ce n'est pas pour ça qu'il suit leurs avis, il aime juste leur musique).
Il a parfois tendance à suivre la masse lors des débats sur les forums et à donner son avis trop tôt, heureusement il arrive toujours à s'excuser quand il se rend compte qu'il faisait erreur.
Plus jeune il aimait beaucoup jouer avec ses amis à ce qu'ils appelaient des "jeux perso", ils se rendaient généralement dans la forêt proche de leur village et jouaient des personnages inventés dans le monde de star wars ou du seigneur des anneaux, il préférait cela dit en passant les jedis à double sabre bleu et les elfes à sens surdéveloppés.
Maintenant quand il est avec ses amis ils jouent à des jeux vidéo et déconnent entre potes en enregistrant des trucs débiles sur un ordi ou en parlant des profs et de leur vie de lycéens.

Phobie :
Photophobie

Histoire :
Journal de Paul Hervot :
A un éventuel lecteur, bien que ce journal est avant tout destiné à pouvoir laisser une trace de l'expérience incroyable que je suis en train de vivre et de pouvoir être sur de ne jamais la perdre, s'il tombe entre les mains de quelqu'un d'autre, je préfère commencer par une petite introduction :

Il y a un monde, où l'on va lorsque l'on dort. Un monde immense aussi bien physiquement que spirituellement, imaginez les rêves du monde entier présent dans un seul monde, un univers, gigantesque, incroyable, Dreamland. Je vais ici essayer de raconter comment j'ai découvert ce monde.

Dès mon plus jeune âge, je fus traumatisé par un évènement qui arriva dans des circonstances horribles, je comprends maintenant que ce détail a été très important, mais commençons par le début :
J'avais neuf ans, j'habitais avec mes parents dans un appartement au sixième étage d'un bâtiment qui en comportait huit, et une chose merveilleuse allait bientôt arriver : une petite sœur, je me souviens comme c'était amusant de sentir les mouvements quand je posais ma tête sur le ventre de ma mère, j'avais l'âge de comprendre ce que c'était et me réjouissait de pouvoir moi aussi parler d'un autre membre de ma famille avec mes amis à l'école. En parlant de l'école, j'avais deux amis très proches : Charles, dont les parents étaient aristocrates, et Vincent, qui avait cela dit en passant un bien meilleur succès chez les filles que Charles et moi réunis. Aujourd'hui nous sommes tous les trois meilleurs amis. A cette époque il y avait un groupe de criminels en fuite, localisé non loin de chez moi, mais personnes à par les parents ne s'en souciaient, vous imaginez facilement que ces criminels ferons parti de l'histoire, ce qui est malheureusement vrai.

Paul relu sa phrase, finalement il écrivait comme s'il racontait son expérience à un lecteur et non à lui-même. Il haussa les épaules et poursuivis la rédaction

Cela se passa une nuit entre un jeudi et un vendredi, je m'en souviens encore avec un grand nombre de détails, je m'était réveillé en pleine nuit, et je n'arrivais pas à allumer ma lampe de chevet, cela arrivais parfois quand l'ampoule grillait, et comme tout les enfant de mon âge je n'était pas très rassuré dans le noir, aussi je recouvrît totalement de ma couverture et ferma les yeux, cherchant le sommeil, j'entendis des pas feutré, mesurés qui s'approchait de mon lit, et je sursautai quand le responsable des bruits de pas me tapota l'épaule, c'était son père, il me faisait signe de ne pas faire de bruit et de venir, je ne comprenais pas sur le moment mais fis ce qu'il disait. On marcha lentement vers la porte d'entrée, ma mère nous y attendait déjà, je commençais à entendre d'autres bruits de pas derrière nous et des chuchotements, et je compris, les braqueurs en fuite étaient là, derrière nous, fouillant la maison, et nous, nous étions devant la porte d'entrée, mais le bruit qu'allait provoquer l'ouverture allait nous trahir, maman mis la main sur la poignée mais mon père l'arrêta, il savait que nous devrions être rapides quand nous ouvririons la porte.
Il ouvrit, les bruits cessèrent d'un coup, tout de suite nous courûmes dans le couloir puis dans les escaliers, le feu de l'action nous fit choisir l'escalier de gauche, celui qui montait, notre erreur…
Nous montâmes donc jusqu'à arriver sur le toit, et nous nous retrouvâmes bloqués, les braqueurs arrivait.
Papa appela la police sur son portable mais les bandits étaient déjà là, la police viendrais, certes, mais trop tard, nous essayions de fuir, mais aucun échafaudages ne nous présentait une sortie, un des bandits tourna le projecteur du bâtiment vers nous et nous restâmes plaqué contre le mur, aveuglés par la lumière, je regardait, terrifié, la silhouette noir d'un des bandits s'approcher et pointer vers nous un revolver, un coup de feu retenti, un cris suivi, un autre coup, un autre cris, tout se passa très vite, quelques secondes à peine, trois autres coups de feu retentirent encore, je sentit une vive douleur au bras, puis une autre un peut plus haute, je n'arrivais pas à fermer les yeux, j'était paralysé, la lumière m'aveuglait, me torturait, je ne voyais plus le bandit, je ne voyais que le projecteur et sentait la douleur des balles dans mon bras, puis tout devins noir.

Quand je me réveillai il faisait noir, j'étais dans un lit, à l'hôpital, mais je ne l'avais pas encore deviné, j'essayai de bouger mais mon bras me faisait souffrir le martyr. Une infirmière entra dans la chambre et alluma la lumière, immédiatement la terreur me repris et je m'enfoui sous la couverture en poussant des hurlements, l'infirmière, ne sachant plus quoi faire, paniqua et appela du secours, elle expliqua rapidement la situation au premier venu sous mes cris incessants, celui-ci s'hasarda à éteindre la lumière, ce qui eu pour effet de me calmer petit à petit, je tremblais dans mon lit, toujours recouvert par la couette, je revoyais cette grande lumière m'agresser.
Quand je fut un peut plus calmé, toujours sous ma couette dans le noir, j'entendis un médecin parler à mon père, maman allait bien, elle avait été opérée et s'en était sorti, mais le bébé, qui avais reçut un fragment d'une des balles, n'avait pas survécu ; tout seul dans mon lit je pleurait silencieusement.

Depuis ce jours, chaque fois qu'une lumière vive était braqué sur moi, comme celle d'une lampe torche et d'une lampe que l'on allume le matin, n'importe quelle lumière un minimum éblouissante éveillait chez moi une panique insoutenable, je ne pouvais supporter la lumière directe, cela alla même jusqu'au cinéma, la salle est dans le noir et le filme est très lumineux, je fermais les yeux souvent, si bien que je ne voulu plus y retourner. Et ma vie du continuer ainsi, ne sortant quand il neigeait que s'il y n'y avait pas de soleil, à cause de la réflexion, mais ce qui me faisait le plus peur, c'était les lampes torche, une lumière vive et ronde, exactement comme le projecteur, je croyais à chaque fois revoir l'ombre du braqueur.

Aujourd'hui j'ai 15 ans, bientôt 16, et je vais tenter de décrire ce qui c'est passé il y a trois jours, ma découverte de Dreamland.

Il y a quelques semaines, un rêve commença à me hanter la nuit, un rêve où je revoyais le projecteur et le braqueur nous tirer dessus, je ressentais encore une fois les balles, mais cette fois elles me traversaient tout le corps, et j'était seul, le bandit tirait, tirait je ne mourrais pas, jusqu'au moment ou j'entendit un bébé crier, ma sœur, perdu il y a des années, un autre coup de feu retenti et les cris du bébé cessèrent d'un coup, j'hurlais, je me débattais, mais j'étais paralysé, prisonnier de ce rêve, impuissant, et me réveillais. Ce rêve me fit perdre bien des heures de sommeil, je me réveillais souvent en plein milieu de la nuit en sueur, tremblant, puis je m'enfouissais sous ma couverture et pleurais. Je revécu ainsi la mort de ma sœur beaucoup de fois, chaque fois plus horrible les unes que les autres. Mais il y a trois jours, tout ne se passa pas comme à chaque fois. Le braqueur était toujours là, le projecteur, toujours plus puissant, était encore allumé, et le braqueur me tira dessus, une fois, puis encore une fois, je criais, hurlais, tentait de toute mes force de réaliser le moindre mouvement, en vain, je fermai et j'entendis une fois de plus ma sœur pleurer, mais cette fois-ci s'en était trop, je ne pouvais me résoudre à la laisser mourir une autre fois, concentrant toute ma force, j'hurlait de plus belle, me débattant comme un diable, puis je rouvris les yeux et regarda fixement la lumière, la laissant me les détruire, comme d'un air de défit, je ne sais pas pourquoi mais j'avais compris que c'était la lumière qui me torturais, pas le braqueur, il n'était qu'une ombre, je fixai la lumière et me disais intérieurement "vas-y, tu-moi si c'est ce que tu veux, aller! Vas-y! TUE-MOI!!!" j'hurlai ces deux derniers mots, je me sentais me rapprocher de la lumière, quand j'entrai en contacte, quelque chose se passa, il y eu une sorte d'implosions, je voyais et sentais la lumière rentrer dans mon corps, puis je me retrouvai à terre, évanoui, et me réveillai.

But : Rendre les royaumes qu'il rencontre sûr et leur donner le courage s'il n'y est pas.

Bonsoir et bienvenue !
Sache déjà que c'est insufisant, il te manque des lignes sur tes descriptions !
Quand tu auras fait ca on vera !

Voila j'ai modifier, en effet je n'avais vraiment pas développé tout ça, par contre ça va peut être faire un peut "haché" si ça ne le faisait pas avant.

Tu es validé, c'est un peu faible sur la quantité mais il y a de bonnes idées continu et tu t'amelioreras rapidement, fais juste attention sur la quantité des lignes quand tu feras des RP !

Tout d'abord désolé pour le double post mais comme ça fait assez longtemps ça aurait été idiot d'attendre que quelqu'un réponde (bon ok cette intro est nul).
Je post juste pour dire que suite aux commentaires de Loki sur les fiches j'ai sentit les descriptions de ma fiche assez courtes,je les ai donc améliorées histoire de mériter un peut plus d'être là (et mon grade de modérateur si jamais il reviens ><), Loki c'est pas suite à notre discussion par MP c'est juste que j'ai eu l'impression que c'était cours là comme ça.

Edit : En effet je sait pas où est-ce que j'ai pondu un double post, ça doit être parce que la revue du sujet quand on écris un message commence par le premier message et j'ai du croire que c'était le dernier, donc j'ai crus double-poster.

Hm...quel double post? () Plus sérieusement, c'est beaucoup ^^ J'apprécie le perfectionnisme =D