Crowz, Time Hollow

Nom & Prenom : Agonius Crowz

Âge : 22 ans

Ville où il vit : Paris

Physique : Mesurant entre le mètre soixante-dix et le mètre soixante-quinze pour environ soixante cinq kilos, Crowz est apparemment un jeune homme qu’on qualifierai de « faible ». Son physique n’est pas avantageux, il est plutôt mince et ne possède visiblement aucun attraits « musclé ». Il a quelques abdos mais sans plus. La peau assez mate/jaune on remarque qu’il est d’origine asiatique, à cela s’ajoute ces grands yeux bridés de couleur noire qui semble si innocent au premier regard. Les cheveux en bataille de couleur noire eux aussi, sont de taille mi-long lui arrivant jusqu’au bas de la nuque, un atout qui lui donne du charme. Son nez fin et son visage harmonieux lui donne un air « gentil ». Passons maintenant au niveau vestimentaire, Crowz s’habille généralement d’un gilet à longue manche blanc qui va avec son jean, mais il faut bien changer de vêtement tous les jours… dans sa garde-robe on retrouve les mêmes vêtements par dizaine. Il n’a pas de piercing, de boucle d’oreille ou bien de tatouage mais porte des bagues à ces doigts. Vous aurez donc pu le constater, Crowz est un jeune homme normal et banal, pas de quoi en faire tout un plat !

Caractère : Avec un air aussi calme et pesant qui ne voudrai pas devenir son ami ? Crowz est aux premiers abords un jeune homme tout à fait sociable qui s’amuse avec ces amis. Il apprécie les nouvelles rencontres, sourit souvent et est très polis et respectueux. Galant envers les dames et bon ami envers les hommes, personne ne penserait un seul instant que ce garçon est complètement détraquer… Après avoir subit une injustice, Crowz changea radicalement au fond de lui-même. Ce monde n’était pas si merveilleux, il était cruel et il fallait user des moyens disponibles pour réaliser ce que l’on souhaite… même si cela implique d’utiliser des personnes comme de simple pièce d’échiquier. Le dénommé Agonius est donc quelqu’un de dangereux au fond de lui, personne ne sait réellement ce qu’il compte faire ou bien ces sentiments, il peut très bien être gentil ou bien méchant, en somme il est neutre et fera ce qui lui semble bon… ce qui lui semble juste au final.

Phobie : Chronophobie (la peur du temps, il n’y avait pas de nom pour cette phobie ou bien je ne l’ai pas trouver donc je l’ai inventer)

Histoire :

Tout le monde commence leur histoire par « né d’une mère, d’un père » je comptais ne pas commencer ainsi mais bon suivons les traditions. Né d’une mère japonaise qui était professeur d’anglais à l’académie de Tokyo, et d’un père venant de l’aristocratie française ancienne, Crowz a vécu une enfance comme tout le monde. Il était l’élève modèle de la classe, toujours silencieux et calme pendant les cours même si ces notes se situaient autour de la moyenne. J’oubliais de préciser, il passa ces études et son enfance au Japon à Tokyo. L’école primaire défila rapidement pour laisser place au collège, à cette période tout jeune garçon normalement constitué était en phase d’évolution pour devenir un homme. Cela incluait les pousser d’hormones et d’adrénaline qui conduisait directement à des bagarres, ce qui était seulement des disputes et chamailleries. Mais Crowz lui ne semblait pas avoir traverser cette période et était passer directement à l’âge adulte (intellectuellement), il évitait les bagarres et autres preuves d’immaturité et lorsque cela lui était impossible, il user de son intellect pour que quelqu’un d’autre l’aide et le protège. Après avoir passer les examens de passage aisément, le jeune Agonius arriva au lycée, la période la plus importante de toute vie, là où l’on fait les plus belles rencontres.


Le Lycée Daishiki

Crowz venait d’entrer au lycée, le second cycle, là où les étudiants travaillaient comme des malade pour obtenir leur diplôme pour pouvoir ensuite aller à l’université. Le lycée qu’avait rejoins notre futur voyageur était le Lycée Daishiki, réputé pour former les futurs grand de ce monde tel que des chef d’entreprise et de multinational. La compétition était rude là-bas, les étudiants ne se faisaient pas de cadeau. Mais plus important pour Crowz, il ne lui restait que trois ans pour être former à prendre la place de son père qui possédait une énorme société française au Japon. Le temps lui manquait et il travailla nuits et jours pour pouvoir apprendre tout ce qu’il fallait. La pression monter à bloque il avait peur parfois de s’arrêter et prendre une pause, car l’heure tournait… Le temps c’est de l’argent dit-on, mais pour Crowz le temps était une lacune et quelque chose d’impossible à arrêter, il avait peur que le temps n’avance que trop vite et qu’il échouait… Vous savez nous avons tous eut peur un jour du temps, peur de vieillir, peur que le temps ne passe trop vite et de ne pas voir la vie passer, peur de mourir, peur d’avoir fait le mauvais choix et donc de vouloir remonter le temps…

Donc pendant trois années entières, Crowz se consacra à ces études. En classe il était un des garçons les plus apprécié. Toujours gentil, charmant et doux, il ne passa que très peu de temps avec ces camarades et préférait avoir une place seul au fond de la classe pour pouvoir entendre tout ce qui se passait en ces lieux et surtout ne pas être déranger pendant les cours par un voisin quelconque. Les filles s’intéressaient elles aussi à Crowz, il avait un air innocent et doux, de plus il n’était pas repoussant physiquement et avait le charme français alors pourquoi ne pas tenter leur chance ? Tout simplement parce qu’il refusait toute relation. A chaque fois qu’un rendez-vous lui était donner par une de ces fameuse lettre d’amour, il n’y allait pas ou bien il y allait pour refuser gentiment.

Tout le monde ne l’appréciait pas forcément, comme dit plus tôt le Lycée Daishiki forme les futurs grands de ce monde, ce qui imposait d’être excellent et créait des rivalités entres les étudiants et Crowz était l’une des cibles principale. Il se trouvait en compétition avec d’autres jeunes garçons de sa classe durant ces trois ans, et ne céda jamais sa place de second, le premier étant réservé à une première, oui c’était une fille. Arriver en terminal il dû donc passer l’examen pour l’obtention de son diplôme et le réussit avec succès et mention. Et vint donc les vacances d’été… le moment du drame…

La jalousie en trois années avait du s’accumuler, car c’était forcément eux, les étudiants… Pendant les vacances, Crowz était parti avec ces parents dans leur maison à la plage et un matin la police arriva sur les lieux, toqua à la porte et arrêta le jeune garçon. Pourquoi qu’avait-il fait ? Il réclama alors le droit de savoir et les hommes de lois l’emmena sur la plage, là-bas il découvrit le corps d’une jeune fille et pas n’importe laquelle : Iwase Fujishiro, la première de la classe. Une fois au poste de police Crowz passa à l’interrogatoire, on ne lui demandait pas si il était coupable ou innocent, les policiers firent pression.

« Avoue ! Plusieurs étudiants ont affirmé que tu étais en mauvais terme avec cette pauvre fille que tu as massacrée ! Tu étais jaloux d’elle ! », hurla l’officier.

L’homme continua sans cesses en injuriant Crowz de tout les noms, il entendit également des chuchotement tel que « c’est vraiment méprisable, les personnes comme lui sont vraiment prêt à tout pour devenir le premier ». Que vouliez-vous qu’il dise, qu’il était innocent ? Il ne le pouvait car les flics avaient trouvé des empreintes de lui sur le corps de la jeune fille. Après 24 heures d’interrogatoire forcé, sans dormir, Crowz avoua le crime qu’il n’avait pas commis et fut envoyer dans la prison la plus strict du Japon…


Le « Kouchisho Jigoku », la prison de l’enfer

Après avoir subit la pire des injustices, Crowz fut envoyé dans la pire des prisons. Le juge avait donné une sentence de cinq ans d’emprisonnement pour le crime qu’il n’avait jamais commis. Une fois dans l’établissement, on lui attribua une cellule unique au fin fond du pénitencier là où la lumière n’apparaissait pas. Dedans il vécu comme une ombre, toujours dans le noir et inconscient du temps qui passait. Ces heures de libertés étaient de 30 minutes par jour, il pouvait sortir dans la cour mais pas n’importe laquelle, une cour carrée. Oui, il n’était pas mélangé avec les autres prisonniers sous la demande de son père qui avait une grande influence. Une fois dans cette fausse liberté, Crowz restait assis là à ne rien faire… Les heures, les jours, les semaines, les mois passèrent et aucune notion du temps. Pour lui le temps avait disparut, il en avait peur.

Depuis combien de temps était-il enfermé ? Sur les quatre murs de sa cellule il y avait des petites barres, environ une centaine ou plus. Il avait arrêté de compter et ne savait plus quelle date et quel jour. Ces journées se déroulaient ainsi, il se levait même dans le noir car le gardien lui signalait que c’était le matin, il mangeait dans un réfectoire privé, prenait une douche et retournait dans sa cellule à ne rien faire, à regarder le temps passer encore et encore. Il prit alors l’habitude de regarder l’heure sur l’horloge qui était accrocher au mur d’en face. Toutes les cinq minutes il jeta un coup d’œil, il avait peur que le temps ne passe trop vite… Mais il le souhaitait en même temps, pouvoir finalement sortir de cet enfer.

Quatre ans défilèrent ainsi, ne lui laissant pas le choix. Il fut libérer pour bonne conduite… au fond de lui-même il avait il n’y avait pas de bonne conduite mais de l’innocence, il savait que c’était une injustice mais n’allait pas le crier sur tout les toits, qui le croirai ? Il se jura alors de profiter de la vie et du présent avant que le temps ne lui fasse défaut. Une fois sorti, une limousine vint le chercher et le ramener à la maison principale. Durant son emprisonnement ces parents n’étaient pas venu le voir une seul fois, ils avaient envoyer des domestique aller le voir à leur place… Crowz et ces parents firent comme si de rien n’était, et continuèrent leur vie. Le jeune garçon garda toute la rancœur et la haine au fond de lui. Ils déménagèrent alors en France, à Paris pour des raisons professionnelles. Le jeune garçon n’avait pas de mal ici, il connaissait très bien la langue car il l’avait appris depuis son plus jeune âge. Il dû par contre reprendre des nouvelles études et s’inscrit à l’université. En France, il n’avait pas le préjuger d’être un criminel mais il rester qu’en même de l’amertume.


Dreamland

Six mois après son arriver en France, Crowz c’était fait de nouveaux amis et avait commencer une nouvelle vie. Mais depuis quelques temps il faisait toujours le même cauchemar. Il rêvait de la prison dans laquelle il avait était enfermer et se réveiller en sursaut, ne pouvant plus se rendormir il travaillait parfois à cinq ou six heures du matin. Ce cauchemar dura environ deux semaines, et finalement c’était ce soir là…

Crowz était dans les couloirs de la prison à déambuler, il était perdu et ne trouvait pas la sorti. Le décor était tout aussi effrayant, les murs semblaient écoeurant, la couleur mauve et dégoulinante n’arrangeait rien. Plusieurs milliers d’horloge était présent tous différentes les unes des autres et déformer. La sorti se trouvait dans une cellule ici. Le jeune garçon chercha encore et encore en courant la sortie, il entra dans une cellule et tomba dans une fausse avant de revenir au point de départ comme dans un jeu. Parfois il ouvrait une cellule et se retrouvait en face d’une tombe avec son nom inscrit dessus, et certaines fois encore plus horribles…

Mais le plus inquiétant dans tout sa c’est qu’au fur et à mesure qu’il avançait, il vieillissait. Et tout ceci se terminait de la même façon à chaque fois, il devenait une personne âgé voir même un centenaire et n’avait que la peau sur les os. Les cheveux blancs qui tombait sur son visage avant de se voir tomber à terre et de voir dans un miroir qui apparaissait son visage squelettique. Généralement il hurlait de peur, mais personne ne pouvait l’entendre alors pourquoi continuait-il.

Ce soir là donc, Crowz s’avança dans la prison et ne trouva pas la sorti, il tomba finalement à terre et se vit dans le miroir. La peur l’envahit alors…

« AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!! »

Un crie des plus effrayant sorti dans sa bouche. Il n’arrivait pas à accepter cette vision des choses, et ferma ces yeux pendant un long moment, dans ces pensées il réfléchissait.

*Je ne veux pas mourir… Je ne veux pas vieillir… Je maudit le temps !...*

Après une bonne dizaine de minutes des larmes glissèrent sur son visage, il semblait avoir mal au fond de lui-même. Peut être avait-il enfin accepter la réalité…

*… Je… Je ne veux pas… Mais je sais que je vais vieillir, le temps passe on ne peut l’arrêter !*

L’acceptation était enfin faite, affrontant sa peur du temps il rouvrit ces yeux faisant face à son futur. Il voyait un homme âgé incapable de bouger et près de la mort, mais étrangement son visage changea, il rajeunissait à vue d’œil. Il se releva alors et fut surpris, il ne comprit pas vraiment la situation et sécha ces larmes, avant de se mettre à courir pour chercher cette sortie invisible. Après quelques minutes il vit une cellule différente des autres, une lumière en sortait. Crowz se plaça alors devant et poussa la grille avant de traverse se champs de lumière, il découvrit alors un tout autre monde. La prison n’était plus… Dreamland était là devant lui.

But (facultatif) : -

Post RP (facultatif) : -


Légendes :

- Olive : personnage autres, pnj
- Rouge foncé : paroles de Crowz
- Bleu : pensées de Crowz

Juste pour info, c'est lui le pote dont je t'avais parlé, Faust

So.......comme pour ton pote, on pourrais un peu étoffer, selon moi, les description.......

Sinan, j'aime bien l'idée du temps =D (quoique bon...j'ai déjà trouvé la parade contre ton pouvoir =D) et ton histoire est étoffée, bien répartie en paragraphes, et j'aime bien les idées ^^

A peine ai-je eut le temps de mettre ma présentation que tu as trouver une parade à mon pouvoir ? Mais qui dit que je serai un méchant ?

Pour les descriptions je rajouterai des lignes après avoir vu le commentaire du deuxième admin. Si non je le fais de suite à voir.

Effectivement, l'histoire est trèèèèèèèès bien mais les descriptions pouraient être appronfondies, surtout mental, mais bon c'est déjà très bien, disons que ton histoire compense !