Aaron | Inside Me

Nom & Prenom : Aaron Crystal

Surnom : Luxury, Asmodé, Asmodeus. Insanity.

Âge : 18 ans

Ville où il vit : New_York.

Physique :

Il est temps de décrire le jeune homme. Parlons ainsi de ce qu’il dégage, sa façon de marcher, ses mimiques qui forgent l’opinion des gens lorsqu’ils le voient. Ses tics, son aura…
Discrète, sa démarche n’attire pas l’attention. Il ne boite pas, ne rejette pas ses épaules en arrière, n’a pas un style de marche particulière qui pourrait le définir. Ainsi, il passe inaperçu la plupart du temps, art qui lui à servi à de nombreuse occasion. Mai si on fait attention à lui, on peut voir un garçon fier. Son nez se retrousse régulièrement lorsqu’il parle ou regarde quelqu’un, dans une moue légèrement hautaine, méprisante et boudeuse parfois. Ses sourcils se froncent souvent, signe d’une colère refoulé.

Il y aussi ses gestes toujours contrôlés, mesurés en publique. Car chacun sait que les gens perçoivent les autres autant par le langage du corps que celui des mots. Il fait donc bien attention à ne pas attirer l’attention sur lui et ses gestes sont simples, basique si j’ose dire.
Mais en privé, c’est une autre histoire… Il parle souvent avec les mains, les bougeant dans tous les sens, incompréhensible s’il est énervé mais lorsque qu’il est calme, on peut remarquer que ses gestes appuient ses paroles. Il possède aussi un « tic » que je qualifierais d’énervant car il fait craquer ses doigts et sa nuque toutes les cinq minutes.

Ses yeux sont d'un bleu d'opale, en amande, parcourent souvent la foule à la recherche d’indice sur la nature des gens et s’ils sont un danger pour lui, on à l'impression qu'il ne regarde jamais en face, qu'il est dans la lune. Son nez, retroussé, et la seule partie de son visage à trahir ses pensées tandis que sa bouche fine, vermeil, bien dessiné, reste toujours neutre et ne s’ouvre que pour lâcher quelques mots. Ses sourcils sont si fins que l’on pourrait croire qu’il se les épile. Ce qui n’est pas vrais d’ailleurs.

Des cheveux mi-longs, brun, encadrent ce visage ovale et doux. Il n’est pas très grand, environ un mètre soixtante-quinze. Sa carrure est de taille moyenne, je dirais qu’elle n’est pas impressionnante mais suffisante. D’ailleurs, il préfère celle-ci à celle d’un body-builder, il ne serait pas aussi discret.

Entraîné dès son plus jeune age, ses muscles sont taillés pour l’endurance et pour la mesure. Je m’explique, il sait doser sa force, à la perfection. Il ne tuera donc jamais par hasard ou maladresse -encore faut-il qu'il tue >.<- et se fatiguera moins vite en utilisant le minimum d’énergie nécessaire à l’accomplissement de sa tâche.

Sa manière de s’habillé et sobre, faite pour ne pas attiré l’attention. Aucune frivolité, pas de couleur flashy donc pour lui, il fait dans le fonctionnel. Son pantalon est légèrement large mais ne le gêne pas dans ses mouvements. Terminé par des chaussures coqués, sa tenue est celle d’un professionnel. Ah, à ajouter, les mitaines qu'il porte en toutes occasions.

Caractère :

Il à l’air austère, mystérieux et souvent, on se dit qu’il n’est pas sociable en le voyant, pourtant… Ce n’est pas le cas, il adore sortir, fréquenter des gens et observer le monde dans lequel il vit pour s’en inspirer et faire ses graphes. C’est un artiste, il réagit donc en tant que tel tout le temps… Il adore ce qui est beau et parfait et surtout ce qui est rond… Grand amateur de femme il ne peut imaginer un monde sans femme et leurs beauté, leurs plaisirs et la facilité avec laquelle il se vautre dans leurs voluptés.

Il n’a pas beaucoup de véritable amis mais tout ceux qui vivent et sont artiste dans la rue le sont indirectement, c’est pour lui une sorte de clan, de refuge contre le monde oppressant d’aujourd’hui. Ce baladant toujours avec ses deux bombes de peintures dans le sac ou accrochées à sa ceinture, c’est un véritable objet décoratif pour lui. Il adore grapher et n’arrêterait pour rien au monde car c’est sa raison de vivre. Il aime les gens comme lui qui aime l’art moderne et ne sont pas conformistes et qui adore foutre un peu le boxons dans la vie de tout les jours, dans la monotonie d’une ville blafarde et sans grand intérêts sans eux, les gens de la rue.

Aaron aime les choses luxueuse mais en possède que très peu. Disons qu’il ne montre pas de signe ostentatoire de sa richesse car il n’ai pas de ceux qui aime montrer tout d’eux.


Phobie : Hématophobie, la peur du sang.

Histoire :

Naître à toujours été un acte difficile. Tout ce fait dans la douleur. Les contractions, un enfer pour la mère…Et que dire quand la mère pousse, que l’enfant essaye de sortir par tout les moyens…Une douleur inimaginable, une douleur que pourtant beaucoup supporte. Mais la douleur de l’être engendré est encore bien pire. Il respire et pleure. Vivre fait mal et c’est la premier pas que l’enfant fait dans cette direction, sans savoir qu’il n’est que sur la première pente, que ce monde qu’il voit à travers ses yeux, ce n’est pas un monde merveilleux…Mais une décharge…

Ainsi naquit Aaron.A la base, asiatique d’origine, elle l’avait appeler Ryû, Le sang. Sa mère choisit ce nom en souvenir de tout ce qu’elle avait laissé dans cette hôpital mais aussi car le sang, liquide vital, coulait dans les veines de son fils, ce sang que beaucoup, à tords, aime voir s’échapper par les pores de la peau de leurs victimes. Son nom de famille, je crois bien l’avoir perdu dans les nombreuses facette de sa vie brûlé par un incendie. Un incendie appelé…Folie.


Ainsi les premiers épisodes de la vie de notre rider se passèrent tranquillement, comme une musique légère, entraînante, parsemé de touches de violon, de piano et autre instrument. Il aimait sa mère, elle était sa seul famille. Il ‘n’avait que cinq ans mais déjà son besoins de sensation forte était grande. Il appris à faire du vélo en quelques jours alors qu’il n’avait que 6 ans. Il maîtrisa le roller à sept. Je n’irais pas plus loin, de risque à ce que les âme sensible ne regrette de m’écouté conté cette histoire.

Sachez seulement, qu’a ses dix ans, il fut retrouvé dans une mare de sang, sa mère et trois inconnus l’encerclant, à terre, sa mère ayant un couteau dans les mains et une balle dans l’estomac. Elle avait réussit à les tuer après avoir reçus une balle dans le ventre … Les hommes avaient du être surpris qu’une femme puisse encore se mouvoir si rapidement après être blessé par balle.

Envoyé dans un Foyer délabré, fréquenté par la racaille de New-York, Aaron (puisqu’il fût nommé ainsi en raisons de sa disparition étrange des registre des naissance), vécut près du bronx. Là-bas, la loi du plus fort était la seul loi valable entre les jeunes. Au début, du fait de sa petite taille, il fut martyrisé et frappé. Il n’avait pas peur des grands, seulement, depuis que sa mère était morte, le sang l’horripilait et le faisait entrer dans une sorte de folie qui faisait peur à ses détracteurs. Pour ne plus se faire frapper et ne plus entrer dans cette folie qui le reboutait et lui faisait aussi peur que le sang, il décida de s’inscrire au club de Free-Fight. Seul distraction dans un quartier pourrie, tout les jeunes qui ne voulait pas finir comme dealer allait là-bas, dans l’espoir de finir en tant que star de ce sport montant en flèche dans les médias.

Pour notre jeune homme, c’était tout bonnement un moyen de sortir de la frayeur d’une nouvelle crise ( en effet, ayant un nez fragile, celui-ci saignait f facilement) et surtout pour foutre une raclée monumentale à deux débiles se prenant pour les maîtres du Foyer. Il leur ferait payer pour toutes ses crasses qui lui avait faite ! Il se pointa donc à la salle de sport du coin, un survet` et un tee-shirt dans un sac usée jusqu'à la corde. En poussant la porte d’entrée, il se dit que sa vie allait prendre un tournant positif.

« Hey ! Petit, qu’est-ce tu viens faire ici ?!”

« A-ton avis ?! Je viens pou prendre des cours!”

Ce ton agressif, il l’avait développé pour se protéger en quelque sorte, pour que plus jamais on le prenne pour un gamin faiblard et qui avait une peur bleu du rouge, du sang. Première impression, en entrant… Mitigé, la salle était pourrie et crade, les équipements usées jusqu'à la corde et les entraîneurs… Sympathique quand même, peut-être compétent serait une bonne chose aussi. Il alla directement vers le vieux monsieur qui était entrain de prodiguer ses conseils à deux jeunes typée mexicains. Il posa son sac, le défia du regard et lui dit :

« C’est combine pour l’année ?”

Le vieux monsieur, les cheveux grisonnant dépassant de son bonnet, le toisa quelque secondes avant de rire puis de lui sourire et de lui répondre :

« Tu me plait petit, va mettre des gants et fait comme les autres. Ici, c’est gratuit ! »[/b]

Aaron se força pour que le sourire qu’il rendit a Billy (le nom du gérant) soit le moins sincère et visible possible mais la flamme qui s’était allumée dans ses yeux voulait tout dire. Insanity alla alors se changer et commença à faire comme tout les autres jeunes de son âge –enfin, à peu près puisque a douze ans, il était le plus jeune. Pompes et abdos étaient plutôt simples. Mais lorsqu’il s’agissait des exercices comme monter à la corde ou lever de la fonte, la tâche était plus ardu pour le jeune homme. Enfin, il n’avait pas trop le choix. C’était soit cela, soit al porte. Il s’exécuta alors.

C’est dans cette période qu’il vécut les meilleurs moments de sa vie. Il découvrit l’amour très tôt, et en devint accro. IL se lia d’amitié avec Billy et celui-ci devint son mentor et presque son père aussi. Quand à ceux qui s’entraînait avec lui, ils étaient comme des frères. Les deux molosses avaient été renvoyés du foyer. Restait cette peur, cette phobie qu’il n’arrivait pas à chasser de lui.

Il se fit de nouveaux amis dans la rue. Alors que la société l’avait rejeté, la rue l’avait adopté. Il connaissait les moindres recoins sombre de la ville et à 14 ans, il était déjà un grapheur connue sous le noms d’ « Insanity ». Souvent, ses dessins étaient ceux de femme dans des poses osées et même dès fois en pleine action. Dessinant aussi plein de choses autre que le « sexe », il était pratiquement devenue un génie dans ce domaine. Sa vie, peu désirable pour certain, était celle d’un rêve pour notre jeune homme. Ses journée étaient extra ! Il n’allait pas à l’école, se pointait à la salle ou le vieux Billy faisait semblant de le réprimander pour son manque de présence à l’école puis commençait à s’entraîner. Plutôt, intelligent, il apprenait les choses les plus importantes avec le vieux entraîneur. Le respect de la vie et même des principes philosophiques !

Anarchiste dans l’âme, Aaron allait souvent semer le bordel en ville, inscrivant des obscénités sur les vitres des voitures de polices ou sur les vitrines des quartiers chics. Il avait une copine qui avait trois ans de plus que lui et il faisait ce qu’il voulait d’elle. Aaron l’avait dépucelé et celle-ci était maintenant accro au jeune homme qui allait pourtant voir à droite et à gauche. Faut dire qu’il faisait cela bien, comme si, pour lui, cela avait été un don innée, acquît à la naissance. Inscrit dans son sang. Petit anecdote qu’il me faut vous raconter et qui me paraît entrer dans le contexte de cette histoire, celle du dépucelage de sa petite copine de dix-sept ans. Hématophobe, il n’avait pas supporté la vue du sang qui coulait du sexe de sa compagne et était tombé dans les pommes à défaut de disjoncter… Etrange n’est-ce pas, pour quelqu’un se pavanant dans la Luxure.

Tout changea pour lui, lorsqu’un soir, dormant, il fit un drôle de rêve. Il coulait dans quelque chose de liquide. Il n’arrivait pas à ouvrir les yeux qui étaient collé par le liquide. Il n’entendait rien, tout était silencieux, malgré les cris qu’il essayait de poussé… Ceux-ci ne sortait pas de sa gorge, comme s’il était devenue Muet. Il était dans un état de panique totale… Mais lorsqu’il pu sentir, il entra dans une sorte de folie… Il semblait couler dans du Sang ! Il se débattait comme un damné, essayait de remonté alors que ses membres refusaient de bouger ! Ses cris, pourtant bloqués dans sa gorge, résonnait dans son esprit et martelait son crâne… Son cœur battait beaucoup trop vite pour un enfant de dix-huit ans ! Puis, comme par magie, il retrouva la vue. A travers cette marre de sang, il pouvait voir son entraîneur, son père d’adoption, se faire frapper par des hommes. L’un d’eux sortit un couteau et l’agita devant le nez de Billy, semblant le menacer de mort pour une raison ou une autre.

Il avait le choix, soit il vainquait cette maudite phobie qui lui coupé tout ses moyens soit il laissé mourir celui qui avait été son père de substitution. Dans ses yeux, la même flammes qu’auparavant s’alluma et il nagea avec force vers l’image se découpant dans le sang. Lorsqu’il atteints l’image, une grande lumière l’éblouissa et il se retrouva couché sur un sol blanc, entouré de deux femmes. Il ne put s’empêcher de remarqué leur beauté. Une d’elle se pencha vers lui et lui tendit une carte.

« Bienvenue à Dream Land… »

Que cela voulait-il dire ? Il le découvrit par la suite. Les possibilités dans ce monde étaient infinies ! Et dans ce genre de monde, celui ou tout était possible, Aaron se dit qu’il allait pouvoir encore plus foutre le bordel…

[i] Nightmare Of Lust…[/i


But : On va Foute L’Bordel !

Bonus
La copine d'Aaron


Cliché pris par la police

Spoiler:

Je reserve, au cas ou.

Cool comme début de fiche fiche (ouais, j'ai la flemme de passer de Jack à Loki xD), un futur Nightmare of Luxury?

En tout cas, j'attend avec impatience la suite ^^ (Hématophobiiiie... pile ce qu'il me faudrais comme Nightmare )

Merci^^. Pourquoi pas ? x).
En tout cas, garde moi le post d'Asmodée au chaud le temps que je termine =)/

By the way (et juste pour étendre sur le tapis de jeu ma connaissance encyclopédique de la Démonologie.....ou plutôt de l'anglais xD) Luxure c'est Lust en anglais, si ma mémoire ne me fait pas défaut ^^

Bon bah...Validé! xD (Je te met ton pouvoir et ta maitrise dans la journée, man!)

Youpiii =D.
Moi je suis prêt à mettre l'boxooon x)