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Message  Charles (Crash) de Salm Mer 24 Déc - 20:37

Nom : Desrousseaux de Vandières
Prénom : Charles
Surnom : Charlot, G0ldy, Crash (Nom Dreamlandien)

Physique :
Charles est un brave gailliard comme le dit si souvent son père. Il n'a pas tellement de physique particulier si ce n'est qu'il arbore une crinière blonde, possède des fins yeux gris qu'il cache habilement derrière son épaisse tignasse de cheveux bouclés dont on lui a souvent fait la moquerie. Il a une voix de basse et il adore écouter en permanence de la musique genre Metallica, AC/DC, U2... (oui, les nobles ont le droit d'écouter du rock, hard rock et metal) et va presque jusqu'à enporter sa guitare avec lui! Il a des traits singulièrement rudes, des épaules et un fessier dévellopés. Sans prétrention, il est toujours bien habillé, et affiche presque en permanence une expression de visage particulièrement heureuse et révoltée. Il est d'ailleurs très simple de le reconnaître dans la rue, cherchez le seul adolescent blond en costume cravate avec une paire de westons trop cirées aux pieds et avec une omega rutillante au poignet gauche. Il est relativement grand (plutôt petit dans la moyenne mais grand par rapport à sa classe de 2nd), mince et élancé. Il ne cache presque jamais (sauf quand on le fait trop chier) sa légendaire bonne humeur et joie de vivre. Il reste quand même quelqu'un de très serieux et de très calme. "Ce type bien fringué est en fait, le plus grand fouteur de merde que Boissy n'ait jamais portée, encore un de ces gosses de riches qui se croient tout permis" (Marguerite, Boulangère à Boissy). "Charles Desrousseaux de Vandières, 15ans, 1m73, 57kg, pas de casier judiciaire." (Jean Jacques, Gendarme à Egly)


Caractère :
Charles est quelqu'un de poli, courtois et droit, comme répète souvent sa mère. C'est un taré parfait, avoueraient plutot ses potes avec qui il traîne et joue au con en permanence. Il est en fait rien de plus ni de moins qu'un jeune humoriste qui utilise de toutes les blague plus nules les unes que les autres pour arracher le plus simple des sourires aux filles. Il sait cependant rester extremement calme lorsque des situations vexantes lui font face. Il ne s'emporte rarement mais peut s'énerver très (trop) vite. Il est capable de tout! Il peut aussi bien être renfermé et timide que dérangé et franc (parfois à l'eccès). Il ne se gène pas beaucoup pour énoncer tout haut ses quatres vérités à l'autre couillon qui le fait chier depuis tout à l'heure. C'est ici sa plus grande qualité et parfois son pire défaut. Il serait bien capable de faire chialer jusqu'à sa meilleure amie sous prétexte qu'il aurait dit la vérité un peu trop brutalement. Son univers de constant snobisme, le pousse à s'affranchir et à s'affirmer (et à se marginaliser par la même occasion!). Il prend cependant plaisir à garder un semblant de cette attitude familiale et utilise un laguage naturel, assez chatié!
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Message  Charles (Crash) de Salm Mer 24 Déc - 20:38

Histoire :
Prologue : L'histoire des Desrousseaux de Vandières remonte jusqu'en 1503 par le retour d' Albin Desrousseaux, petit noble encore inconnu, du nouveau Monde. Mais Nous allons nous intéresser à Charles. Sa peur du vent est très récente et de ce fait, très violente.
Charles est très amoureux d'une fille qu'il considère comme etant au dessus de tout, un sentiment normal pour son âge. C'est une petite femme très mignonne qui traîne avec elle sa jolie frimousse attachante, son large sourire malicieux, ses yeux d'un vert très pâle, ses cheveux tombants sur ses omoplates et son prénom d'Adélie choisi sur un coup de tête de sa mère, juste après l'accouchement, lorque son mari cherchait LE prénom unique en faisant les cents pas dans la chambre d'hôpital, alors qu'à la télé, il y avait un reportage sur la fonte de la banquise au pôle sud en Terre Adélie!
Cette jolie jeune fille va alors passer à deux doigts de la mort devant le jeune aristocrate impuissant.
Histoire :
Dans la vie réelle : C'était un magnifique jour d'aout, sans nuages, un peu lourd sur les bords et vraiment très chaud. C'étaient ces vacances qu'avait choisi Charles pour se risquer à inviter Adélie. Oh, pas toute seule évidemment, il avait aussi invité quelques de ses meilleurs amis (es) afin que ses parents ne s'aperçoivent pas de la subtilité de la situation. Ils les avaient invités en vacances à Key West dans sa villa au sud de la Floride. Une grande bâtisse de plein pied avec un immense garage encastré dans la salle à manger et avec un immense jardin taillé aux ciseaux surplombant le Glofe du Mexique et abrite un grand arbre centenaire dont l'origine était indéfinissable.
On déjeuna longtemps sur la table de jardin en racontant des bêtises et en discutant de tout et de rien.
A midi et quart précises, les plombs sautèrent! Rien de grave répétait sans cesse Philippe de Salm qui en grand bricoleur avait tout de suite examiné la panne. A midi vingts, les parents partirent au magasin de bricolage le plus proche (à compter, environ 100km) en laissant les jeunes dans cette grande demeure subitement vidée de l'animation qui la remplissait.
Adélie en profita pour extirper Charles des autres restés à l'interieur. Il eurent un quart d'heure pour se dire tout ce qu'ils voulaient se dire et faire ce que des ados de leur âge auraient fait. (Je vous laisse imaginer)
La douceur et la tendresse des baisers qu'ils s'échangèrent en haut du haut de l'arbre était comparable à une caresse de la part d'un nuage. Il s'effleuraient du dos de la main espèrant simplement ne pas faire mal à l'autre. Ils s'aprivoisèrent lentement, simplement, sur une des plus grosses branches de l'arbre. Alors le vent se joignit aussi à leurs découvertes. Et comme le vent gonflait la chevelure de la jeune fille, leur dialecte bien à eux, dans lequel ils se comprennaient tomba dans le champ lexical de la passion. Ils voulaient se découvrir entièrement, et plus de gestes au hasard était permis. Leurs mains se cherchèrent et se caressèrent tendrement, elles formaient un tout, un tout délicieux. Ils s'étaient animés d'une fougue intense et sensible, leur fameux language. Ils noyèrent leurs regards dans les yeux de l'autre. Seulement, le vent forçait et s'accelerait. Il les força à stopper cette divine interlude de douceur et d'extase. Ils se réveillèrent doucement d'un rêve éveillé, se contemplant toujours le fond des yeux. Mais le vent forçait toujours et les sépara. Adélie, encore interloquée, tomba de l'arbre et se rattrappa comme elle pu.
A midi et demie précise, l'ouragan Jane frôlait la Floride.
Charles tomba à son tour, secoué par une puissante rafale qui s'était abattue sur lui. Il s'écrasa au sol non loin de sa bien aimée qui était tombée en arrière et observait le désastre! Le Golfe était ravagé par un énorme siphon qui se concentrait au centre. Un bras de ce gigantesque monstre tournoyant s'abatit de nouveau sur les adolescents qui volèrent à l'encontre de la villa qui démontrait à elle seule la résistance des maisons en dur aux Etats Unis. Adélie alla s'écraser sur le large mur ouest, tantis que Charles fracassa la porte vitrée qui s'émietta sous sa chute. Les autres restèrent perplexes de cette apparition pour le moins, fracassante, eux qui n'avaient rien vu de l'arrivée de Jane! Charles se contenta d'afficher une expression abattue et fit un simple signe de repli à ses amis.
En se relevant, il se rappela. "Adélie!". Alors il glissa, se rattrappa et retourna en enfer. De retour dehors, une volée le fit trébucher, puis le plaqua contre le mur. Il était à seulement une douzaine de mètres d'elle mais il avait du mal à progresser. Elle, stupéfaite, regardait autour, le désastre de la situation. La mer semblait comme soulevée par une chose, un gouffre qui absorbe tout et repousse tou en même temps. Elle se mit à pleurer en imaginant le pire. Elle fut arrachée de ses pensées quand elle entendit "Adélie!!". Elle appercut le jeune aristocrate plaqué sur le mur, sa veste au lambeaux et ses jambes toutes égratignées qui tentait de parvenir à elle. Mais ils furent arrètés quand l'arbre se déracina. Un tronc centenaire d'une vingtaine de mètre leur barra alors le seul espoir qu'ils avaient de se sauver. Il éventra la maison dans une colère sombre, un grondement sourd dont le monstre se récompensa, insatiable. Le mur craqua comme une vulgaire biscotte avec un tremblement qui secoua jusqu'au plus profond des deux adolescents. Adélie revit alors son petit ami de l'autre côté du vide qu'avait créé l'arbre. Il se tenait droit, sur le mur, regardant au sol, tétanisé. Alors, elle l'appela. Il ne fit que tourner sa tête vers elle en la regardant, plein de désolation. Elle l'appela encore, mais il ne fit rien, il resta là, à la regarder dans les yeux, d'une étrage façon. Les larmes lui vinrent et il tomba à genoux, résigné, sans force. Alors, un dernier souffle du monstre qui s'éloignait le poussa outre le vide et vint s'écraser sur ce qu'il restait du tronc. Le tronc pivota alors dans un grincement metallique et aplatit la jeune fille.
Trois jours plus tard, le médecin s'expliquait. Le choc qu'elle avait reçu de l'arbre lui avait comprimée la cage thoracique, entrainant une perte de connaissance et de très nombreuses fractures. Lui n'avait eu que quelques équimoses, de longues marques d'une violence certaine. Il était condamné à ne rendre visite à Adélie, seulement à l'hopital, avec la culpabilité de l'avoir mise dans ce sommeil instable, ce cauchemar permanent!
En cauchemard : Le jeune homme n'arriva alors plus à dormir. Pris d'une intense culpabilité, il ne sortait plus ne mangeait plus. Il faisait des cauchemars atroces. Il en faisait 3 différents mais avec à la clé, le même résultat : la mort d' Adélie.
Dans le premier de ses cauchemards qu'il fit le soir même du carnage, il est lieu du cyclone. (encore un) Le jeune aristocrate se retrouva dans une grande pièce blanche bien plus haute que large ou longue en compagnie de sa bien aimée à son bras. D'un coup, un vent fort se mit à souffler sur elle et l'emporte, comme ça, la faisant tourner autour de rien.
Charles,resté au sol, d'abord interloqué, la regarde partir dans les airs, puis lui court après sans rien comprendre de la situation. Il éssaie en vain de l'attrapper au vol, mais alors, elle monta de plus en plus haut en tournoyant, emporté par un espèce de... de cyclone!!!
Charles fut alors projeté sur un des 4 hauts murs de la bâtisse immense. Il n'arriva plus à se décoller du mur et dû la regarder prendre de l'altitude sans pouvoir s'éloigner du mur de plus de 2m environ.
Alors, le visage boursouflé d'Eole apparut à lui. Bien sur, ce n'était pas le dieu en personne mais une simple allégorie que son cerveau créait sans même s'en rendre compte.Ce dernier lui souffla : "Vazz-y, sssauvee là ssi tu en est capabble, sssauvee là ssi tu l'aiimess!"
Il disparut dans un panache de fumée.
Mais elle montait toujours plus haut, et lui ne pouvait qu'observer une tragédie proche.
Elle montait toujours plus haut, il ne la distinguait que peu maintenant, mais elle monta encore, et encore, et encore. Lui, abbatu, ne là voyait plus. Mais, à ce moment là, le cyclone se stoppa, net et bref, l'air redevint intact et immobile comme si de rien n'eut été. Le jeune aristocrate releva vivement la tête et hurla : NOOoooonnnn!!.
Le deuxième cauchemar, lui, apparut un peu plus tard dans les nuits de l'adolescent.
Une vaste plaine verdoyante leur apparaissaient et ils marchaient bras dessus bras dessous. Ils discutaient tranquillement au beau milieu de la plaine qui s'étendait à perte de vue. D'un coup, d'un seul, Adélie bascula en arrière et tomba dans un vide jusqu'alors inexistant. Lui fut écarté, de l'autre côté et dût subir la chute de sa bien aimée. Il semblait constament repoussé par un "mur" invisible d'air comprimé. Elle, tombait inexorablement. Ses cheveux semblaient vouloir échapper à cette réalité qu'était sa chute.
Eole apparut encore au jeune aristocrate et lui tint le même discours que dans ses rêves précedents. Charles, alors résigné, s'écroulait de honte de ne pouvoir intervenir. Au fur et à mesure que ce cauchemar lui paraissait, Le dieu du vent finit par presque le convaincre qu'il ne la sauverait pas parce qu'il ne l'aime pas, mais elle, délicatement endormie, lui interdisait de penser une chose pareille.
Le troisième cauchemar est aussi le pire. Imaginez-vous assister à la noyade d'un proche! La scène, donc sous-marine, se déroule dans un petit lac à priori calme, qui va en réalité être l'objet d'une mort horrible!
Adélie, est enfermée dans une large cage de fer rouillé à quelques centimètres seulement de la surface. Cette cage est constituée de quelques barreaux suffisament espacés pour y laisser sortir un bras, mais pas plus! Charles lui fait face dans le reste du lac. Elle reste figée et ne bouge plus d'un poil, alors que lui se jette sur les barreaux, se dénemant comme un beau diable, essayant de séparer la raideur parallèle de ces droites metalliques. En vain! Il s'acharne de plus en plus, se jette dessus essaie de l'enfoncer, de l'écarter, de l'encastrer. Il remonte, respire brievement, replonge et rentre dans les barreaux qui ne cèdent pas. Elle reste dans un calme gênant, économisant jusqu'a la moindre molécule constituant l'air. Lui s'acharne de plus en plus sur cette maudite boite qui semble d'après lui réagir!
C'est ce moment que choisit Adélie pour prendre la main de son patit ami. Lui ne veut rien entendre et continue à rentrer dans ce bouclier qui le retient à sa bien aimée. Alors elle lui attrappe la main plus vigoureusement et lui se voit forcé d'arrêter. Alors elle jette en lui ses grands yeux verts plus clairs que jamais et lui pose tendrement la main sur la joue et s'approche pour l'embrasser, mais c'est alors qu'elle se met à étouffer. Lui, prend vivement la nuque, l'embrasse furtivement et souffle tout ce qu'il avait d'air en lui. Il remonte prendre de l'air à nouveau, redescend et aperçoit alors sa bien aimée stagnante, comme stoppée nette dans une action désespérée de survie.
Les nuit suivantes, ces cauchemars s'intensifièrent, il fut forcé de la regarder plonger lentement dans cet abîme sans fond qu'il devait affronter chaque soir sans succès.
Jusqu'a cette fameuse nuit où il allait enfin la délivrer et prouver au dieu lui même son amour si puissant et inarrêtable pour elle.
Et cette nuit était d'autan plus improblable dans le sens où il combattit ses trois cauchemars en même temps. Il se retrouva donc cette nuit là à trois endroits totalements différents.
Il marcha tranquillement dans une immense salle très haute avec Adélie au bras, sur une large plaine verdoyante et très lumineuse, au bord d'un lac très calme sur lequel se balade la brume matinale. Soudainement (ou comme d'habitude) un vent violent emporta sa bien aimée dans la haute salle blanche, un souffle surpuissant l'arracha de ses bras pour aller la projeter dans un vide jusqu'alors inexistant, la brume s'écarta sous la chute de la jeune fille suivie d'une énorme cage de fer rouillé! Le garçon fut alors projeté sur un des larges murs de l'enceinte du bâtiment, jeté à bas sur le sol non loin du gouffre grandissant, poussé à l'eau face à son amie. C'est ce moment que choisit Eole pour (encore) faire son apparition et troubler encore plus le jeune homme qui doit cette fois se battre inconsciemment contre ces trois horreurs. Il lui tint le discours devenu malheuresement habituel.
Le jeune homme le regarda alors droit dans les yeux en se relevant. Il portait une expression de visage résolument noire et fermée, et il lui répondit d'une voix grave et terrifiante :
"Ca, c'est ce que tu crois petit malin. Sache bien que j'amais plus, tu ne pourras entraver la route qu'il y a entre moi et elle. Sache que je l'aime, et que je vais maintenant te renvoyer en enfer!
Alors le jeune aristocrate marcha lentement vers l'oeil du cyclone en voyant Adélie monter, plus rien ne le retenait, il marchait à son aise sur ce champ de bataille devenu sien. Il s'arrêta au bord du gouffre et plongea, comme s'il avait été aussi simple. Il se contracta et se referma sur lui même non loin de la cage dans laquelle Adélie le regardait hébétée. Il s'arrêta net au centre du cyclone pendant qu'Adélie montait toujours. Il la rattrappa enfin dans sa chute inexorable, la saisit et elle se blotit instinctivement contre lui. Deux énormes bulles déscendirent alors et aspirèrent leurs visages. Il se mit à tourner dans le sens inverse au cyclone et en créa un nouveau dans son oeil. Il se retourna et stoppa sa chute, comme ça, l'air de rien! Enfin, des miliers de toutes petites bulles descendirent de part et d'autre de la cage rouillée. Le monstre s'arrèta dans la grande pièce blanche et Adélie retrouva le sol calmement. Ils remontèrent au bord de la falaise qui disparut subitement. Les petites bulles vinrent se coller les unes aux autres pendant que les deux adolescents respiraient leur air artificiel. Elle s'aglutinèrent encore longtemps sur le plafond de la cage qui finit par se décoller du sol petit à petit. Les bulles enflaient en soulevant la cage maintenant soumise à la puissance du futur voyageur! Elle s'éleva et sortit de l'eau. Elle plana doucement au dessus de la berge. Soudain, Charles qui était, lui aussi sorti de l'eau par lévitation se détendit, se raidit et entraina l'explosion bruyante de la cage qui laissa choir Adélie de nouveau dans l'eau, mais libre!
C'est ainsi que le seigneur cauchemar du vide pensait avoir placé son pouvoir entre de bonnes mains, et faire de Charles un puissant allié, mais il avait en réalité animé un monstre de tristesse et de solitude qui aurait très bien pu se passer de l'affection d'un seigneur cauchemar.
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Message  Charles (Crash) de Salm Mer 24 Déc - 20:38

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But : Réveiller Adélie
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